17 février 2016
Résultats financiers
Bombardier annonce ses résultats du quatrième trimestre et de l'exercice clos le 31 décembre 2015
- Air Canada signe pour un total qui pourrait aller jusqu'à 75 avions CS300
- C Series certifié, en voie d'être mis en service avec SWISS
- Plan de transformation axé sur l'expansion des marges et des flux de trésorerie
- Équipe de leadership renouvelée exécutant la relance de l'entreprise
- Solides liquidités pro forma de 6,5 milliards $(1)
- 2016 une année de transition
(Tous les montants de ce communiqué de presse sont exprimés en dollars américains, sauf indication contraire. Ce communiqué de presse contient à la fois des mesures conformes aux IFRS et des mesures non conformes aux PCGR. Les mesures non conformes aux PCGR sont définies et leur rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS est présenté dans le rapport de gestion de la Société. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.)
- Revenus de 18,2 milliards $; carnet de commandes de 59,2 milliards $
- RAII avant éléments spéciaux(2) de 554 millions $
- Éléments spéciaux de 5,6 milliards $, essentiellement liés à l'achèvement des examens approfondis et à l'atténuation du risque lié aux programmes d'avions
- Optimisation des effectifs résultant en une réduction de ~7000 postes à l'échelle mondiale, partiellement compensée par de l'embauche dans des domaines en croissance
- Consolidation des actions à être proposée à la prochaine assemblée des actionnaires
- La direction fournit des prévisions consolidées et par segment pour l'exercice 2016
- Les liquidités pro forma sont constituées des sources de financement disponibles à court terme au 31 décembre 2015, du produit brut de l'investissement de la Caisse de dépôt et placement du Québec (la Caisse) dans Transport reçu le 11 février 2016 et du produit brut prévu de l'investissement du gouvernement du Québec dans le programme d'avions C Series.
- Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.
Bombardier (TSX: BBD.B) a publié aujourd'hui ses résultats financiers du quatrième trimestre et de l'exercice clos le 31 décembre 2015.
« Nous relançons Bombardier pour rendre cette formidable entreprise plus solide et plus compétitive, a dit Alain Bellemare, président et chef de la direction. Au cours de la dernière année, nous avons renouvelé notre équipe de direction et développé un plan clair pour améliorer fortement notre performance. Nous avons atténué les risques de nos principaux programmes et stabilisé l'entreprise, en nous assurant d'avoir les liquidités nécessaires et en prenant une série de mesures pour rebâtir nos marges.
« Avec la certification de l'avion CS100, nous avons aussi atteint le dernier jalon clé avant la mise en service du C Series, tout en accélérant la cadence en vue de la production à plein régime. Aujourd’hui, avec la signature d’Air Canada pour l’avion CS300 à la fine pointe de la technologie, nous ajoutons un client important, un transporteur aérien international basé en Amérique du Nord, pour compléter nos commandes reçues en Europe et en Asie. L’engagement d’Air Canada est un signe fort de la reconnaissance de cet avion exceptionnel. Il créera beaucoup de valeur pour Air Canada et ses clients et il deviendra un catalyseur de commandes futures en Amérique du Nord et dans le monde entier », a ajouté M. Bellemare.
Pour 2016, l'entreprise devrait générer entre 16,5 milliards $ et 17,5 milliards $ de revenus, avec des améliorations de marge RAII dans l'ensemble de Transport, Avions d'affaires et Aérostructures, pendant que Avions commerciaux accélère le programme C Series. Le RAII devrait être à l'intérieur d'une fourchette de 200 millions $ à 400 millions $, tandis que l'utilisation des flux de trésorerie disponibles s'améliorera de façon importante pour se situer à l'intérieur d'une fourchette de 1,0 milliard $ à 1,3 milliard $ pour l'exercice.
Prévisions pour 2016(1) | ||
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Avions d’affaires | Croissance et livraisons | Revenus supérieurs à 5,0 milliards $. Environ 150 livraisons. |
Rentabilité(2) | Marge RAII d'environ 6 %. | |
Avions commerciaux | Croissance et livraisons | Revenus d’environ 3,0 milliards $. Environ 95 livraisons. |
Rentabilité(2) | RAII négatif d’environ 550 millions $, découlant principalement de l’incidence dilutive des premières années de production du programme d’avions C Series.(3) | |
Aérostructures et services d’ingénierie | Croissance | Les revenus devraient se maintenir à environ 1,8 milliard $ et provenir principalement de contrats intersectoriels avec les secteurs Avions d’affaires et Avions commerciaux. |
Rentabilité(2) | Marge RAII d’environ 7,5 %. | |
Transport | Croissance | Revenus d’environ 8,5 milliards $, selon l’hypothèse que les taux de change resteront stables en 2016 par rapport à 2015. |
Rentabilité(2) | Marge RAII supérieure à 6 %. | |
Consolidées | Croissance | Revenus à l’intérieur d’une fourchette de 16,5 milliards $ à 17,5 milliards $. |
Rentabilité(2) | RAII à l’intérieur d’une fourchette de 200 millions $ à 400 millions $. | |
Liquidités | Utilisation des flux de trésorerie disponibles(4) à l’intérieur d’une fourchette de 1,0 milliard $ à 1,3 milliard $. |
- Se reporter à la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs de chaque secteur isolable et à la mise en garde liée aux énoncés prospectifs ci-après pour des détails sur les hypothèses sur lesquelles reposent nos prévisions.
- Les prévisions portant sur la rentabilité sont fondées sur le RAII avant éléments spéciaux. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR pour une définition de cet indicateur.
- Les premières unités en production d’un nouveau programme d’avions entraînent des coûts plus élevés et leurs prix de vente sont habituellement moins élevés que ceux des unités produites ultérieurement dans le cycle de vie du programme.
- Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR pour une définition de cet indicateur.
Air Canada signe pour un total pouvant aller jusqu'à 75 avions C Series
Bombardier et Air Canada ont annoncé aujourd’hui que les parties avaient signé une lettre d’intention portant sur la vente et l’achat de 45 avions CS300 avec des options sur 30 autres avions CS300, dont des droits de conversion en avionsCS100. À l’exécution d’une entente d’achat ferme, Air Canada deviendra le premier transporteur nord-américain de grandes lignes à réseau international pour les avions C Series. Les livraisons du tout nouvel avion commenceront en 2019.
Selon le prix affiché de l’avion CS300, une commande ferme serait évaluée à environ 3,8 milliards $. Avec cette entente importante, Bombardier a maintenant reçu des commandes et engagements portant sur un total de 678 avions C Series.
Optimisation des effectifs à l'échelle mondiale
Bombardier a annoncé aujourd'hui qu'elle prendra des mesures pour optimiser ses effectifs en combinant réduction de sa main-d’œuvre et embauche stratégique au cours de 2016 et de 2017. L'entreprise visera à réduire sa main-d’œuvre à l'échelle mondiale d'environ 7000 employés de production et autres, dont 2000 contractuels, tandis qu'elle évoluera au cours des deux prochaines années. Cette réduction sera en partie compensée par de l'embauche dans certains domaines en croissance, notamment pour soutenir l'accélération de programmes et de projets stratégiques à l'échelle mondiale, comme le C Series. Ces ajustements permettront à Bombardier de se doter des effectifs nécessaires pour répondre aux besoins d’affaires actuels et accroître sa compétitivité.
La décision d'optimiser l'entreprise est fondée sur un examen approfondi des activités réalisé au cours de la dernière année :
- Tel que déjà communiqué, les cadences de production de certains modèles d’avions ont été modifiées en raison des conditions macroéconomiques. Bombardier adapte donc ses effectifs pour répondre à la demande du marché.
- Tel que prévu, d'importants programmes aéronautiques en développement et projets en transport sur rail, mobilisant un grand nombre d’employés, s’achèvent progressivement. Bombardier ajuste sa main-d’œuvre pour s'aligner sur les charges de travail à venir.
- Enfin, le plan de transformation de l’entreprise se réalise, améliorant la productivité dans l'ensemble de ses activités.
En parallèle, Bombardier compte embaucher dans certains domaines en croissance :
- Le programme d'avions C Series continue d'accélérer sa cadence de production et de remporter des commandes, générant de nouveaux emplois aux installations de Bombardier à Mirabel, au Québec. Le nombre d'employés directement affectés au programme C Series a augmenté au cours des derniers mois pour atteindre un total de 3450 employés à l'échelle mondiale, et il devrait continuer à croître au cours des prochaines années.
- De plus, l'impressionnant carnet de commandes de 30,4 milliards $ de Bombardier Transport inclut d'importantes commandes mobilisant des effectifs additionnels dans des régions où il a une présence limitée.
« Au cours de 2016 et 2017, nous allons adapter notre main-d’œuvre mondiale aux conditions du marché tout en embauchant pour soutenir les secteurs en croissance, notamment le C Series, a dit M. Bellemare. Ces ajustements d'emplois sont toujours difficiles à faire. Ils sont cependant importants pour nous assurer qu'avec nos 64 000 employés dans le monde, nous continuons à créer de la valeur supérieure pour nos clients, à être plus compétitifs et à générer une performance financière améliorée », a-t-il ajouté.
Les emplois touchés se trouvent principalement au Canada et en Europe où sont concentrées les activités aéronautiques et de transport sur rail de l'entreprise. Bombardier soutiendra les employés touchés et leur fournira des ressources pour les aider à gérer leur transition.
Les réductions débuteront au cours des prochaines semaines et se feront sur une période de deux ans. Tout au long de 2016, Bombardier devrait comptabiliser des charges de restructuration de 250 millions $ à 300 millions $, sur une base annuelle, à titre d'élément spécial lorsqu'elles seront encourues.
Le tableau ci-dessous donne un aperçu des réductions d’effectifs visées par secteur d’activité :
Secteur d’activité | Réduction d’effectifs |
Aérostructures et Services d’ingénierie | 2 500 |
Avions d’affaires | 500 |
Avions commerciaux | 0 |
Ingénierie et développement de produits, Aéronautique | 800 |
Transport | 3 200 |
Total | 7 000 |
« Bombardier est mieux placée aujourd'hui et nous sommes en voie de générer une rentabilité améliorée. Nous sommes engagés dans un processus rigoureux qui accroîtra notre capacité de générer des bénéfices et des flux de trésorerie au cours des cinq prochaines années. Avec l’engagement marquant d’Air Canada aujourd'hui pour un total pouvant aller jusqu'à 75 avions CS300, nous créons des conditions favorables pour livrer concurrence avec succès. Les avions C Seriessont les meilleurs avions du segment des avions de 100 à 150 sièges. Leur conception novatrice entièrement nouvelle en font les avions aux plus faibles coûts d’exploitation, au plus grand confort en cabine et les plus respectueux de l’environnement de l'industrie. Nous avons maintenant en place un plan clair et nous faisons preuve d'exécution disciplinée pour rendre Bombardier encore plus solide », a conclu M. Bellemare.
Regroupement d’actions
Bombardier a également annoncé aujourd’hui qu’elle entendait soumettre à ses actionnaires une proposition de regroupement (aussi appelé « fractionnement inversé d’actions ») de ses actions classe A (droits de vote multiples) (« actions classe A ») et actions classe B (droits de vote limités) (« actions à droits de vote subalternes classe B »), émises et non émises, à son assemblée annuelle et extraordinaire devant avoir lieu au printemps 2016 (« regroupement d’actions »). Le ratio de regroupement sera choisi par le conseil d’administration de Bombardier à l’intérieur d’une fourchette de ratios, sous réserve de l’approbation des actionnaires, qui devrait donner lieu, à ce moment-là, à un cours initial par action postérieur au regroupement se situant entre 10 $ CAN et 20 $ CAN par action classe A ou action à droits de vote subalternes classe B. En supposant l’obtention de l’approbation des actionnaires et celle de la Bourse de Toronto, le regroupement d’actions, le cas échéant, serait réalisé au moment où le conseil d’administration le jugerait opportun.
Bombardier estime qu’une augmentation du cours des actions par suite du regroupement proposé susciterait un intérêt accru au sein des milieux financiers puisqu’elle aurait pour effet d’accroître le bassin d’investisseurs susceptibles de songer à investir ou d’être en mesure d’investir dans Bombardier.
La mise en œuvre du regroupement d’actions est assujettie à un certain nombre de conditions, dont l’approbation de la Bourse de Toronto et celle des actionnaires, et au pouvoir dont dispose le conseil d’administration de décider, à son gré, sans autre approbation ou mesure de la part des actionnaires et sans préavis à ces derniers, de ne pas procéder au regroupement d’actions, même s’il a été approuvé par les actionnaires. Rien ne garantit que le regroupement d’actions sera mis en œuvre ou, le cas échéant, qu’il le sera dans la forme proposée, ni à quel moment il le sera, et rien ne garantit que le regroupement d’actions donnera lieu au cours initial par action postérieure au regroupement envisagé pour les actions classe A ou actions à droits de vote subalternes classe B.
RÉSULTATS SECTORIELS ET FAITS SAILLANTS
Avions d'affaires
- Le 15 juin 2015, David M. Coleal est devenu président, Bombardier Avions d'affaires.
- Par suite de l'examen approfondi visant à valider tous les aspects du programme d’avions Global 7000 et Global 8000, la mise en service de l'avion Global 7000 est maintenant prévue au deuxième semestre de 2018.
- Le 28 octobre 2015, en raison de l’absence de ventes par suite de la faiblesse prolongée du marché, Bombardier a mis fin au programme d’avion Learjet 85. Par conséquent, l'entreprise a comptabilisé une charge de 1,2 milliard $ dans les éléments spéciaux au troisième trimestre de 2015, liée principalement à la dépréciation des coûts de développement restants du programme d’avion Learjet 85. L'entreprise maintient son engagement à l'égard de la gamme d'avions Learjet.
- En novembre 2015, l'avion Challenger 650 a été mis en service.
- Bombardier poursuit la restructuration et l’amélioration du modèle d’affaires d’Avions d’affaires pour améliorer sa rentabilité à long terme. Après la fin de l’exercice, soit le 13 janvier 2016, elle a annoncé qu'elle avait complété des initiatives pour accroître le nombre de canaux de vente directe sur le marché, dont la résiliation d’ententes de représentation commerciale et de distribution, ainsi que la restructuration d’ententes commerciales liées à la vente d’avions, ce qui a entraîné l’annulation de 24 commandes fermes d’une valeur de près de 1,75 milliard $ aux prix affichés de 2015, et l’annulation de 30 commandes optionnelles additionnelles. Surtout en raison de ces initiatives réalisées au quatrième trimestre de 2015, Bombardier a comptabilisé une charge de 327 millions $ dans les éléments spéciaux.
Avions commerciaux
- Le 9 avril 2015, Fred Cromer est devenu président, Bombardier Avions commerciaux.
- En octobre 2015, Bombardier Inc. a conclu un protocole d’entente avec le gouvernement du Québec, qui investira 1,0 milliard $ dans le programme d’avions C Series, en contrepartie d’une participation de 49,5 % dans une société en commandite nouvellement constituée à laquelle Bombardier transfèrerait les actifs, passifs et obligations du programme d’avions C Series. Cette société en commandite nouvellement constituée poursuivra les activités liées à son programme d’avions C Series et sera incluse dans le périmètre de consolidation des résultats financiers de l'entreprise. La signature des ententes définitives et le décaissement de l’investissement devraient avoir lieu au deuxième trimestre de 2016, sous réserve des conditions relatives à la clôture. La participation du gouvernement du Québec dans la société en commandite sera rachetable, au gré de Bombardier, dans certaines circonstances.
- Par suite d’un examen approfondi du programme d’avions C Series et des discussions avec le gouvernement du Québec, qui ont donné lieu à ce protocole d’entente, l'entreprise a comptabilisé une charge de 3,2 milliards $ dans les éléments spéciaux au troisième trimestre de 2015, liée principalement à la dépréciation de l’outillage du programme aéronautique. L'entreprise continue à croire que le programme d’avions C Series répond aux besoins particuliers du marché et qu’il possède un potentiel de marché à long terme.
- Le 17 décembre 2015, l’avion CS100 a obtenu la certification de type de Transports Canada, ce qui ouvre la voie à sa livraison et à sa mise en service auprès de son premier exploitant, Swiss International Air Lines (SWISS), prévue au deuxième trimestre de 2016.
Aérostructures et Services d'ingénierie
Bombardier Transport
- Le 14 avril 2015, le train italien à très grande vitesse V300ZEFIRO a été homologué et a réalisé avec succès son trajet inaugural de Milan à Rome avant d’entrer en service en juin 2015.
- En novembre 2015, Bombardier Inc. a conclu une entente définitive avec la Caisse de dépôt et placement du Québec (la Caisse) visant un investissement de 1,5 milliard $ sous forme d'actions convertibles dans la société de portefeuille nouvellement créée de Transport, Bombardier Transportation (Investment) UK Ltd (BT Holdco). Les actions seront convertibles en une participation de 30 % des actions ordinaires de BT Holdco, sous réserve d’ajustements annuels liés à la performance. BT Holdco continuera d’être contrôlée par Bombardier Inc. et ses résultats continueront d’être présentés dans le périmètre de consolidation de Bombardier Inc. L'investissement a été complété le 15 février 2016.
- Bombardier Transport a enregistré un solide volume de nouvelles commandes totalisant 8,8 milliards $ dans l’ensemble des segments de produits et des régions géographiques, qui conduit à un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,1 pour l’exercice et porte le carnet de commandes à 30,4 milliards $ à la clôture de l’exercice.
- Au cours de l’exercice, Bombardier Transport a renforcé sa position sur le marché chinois :
- Il a conclu une entente avec New United Group (NUG) pour établir une coentreprise de signalisation et de contrôle ferroviaire en Chine.
- Bombardier-Sifang Transportation, une entité chinoise dans laquelle Bombardier détient une participation de 50 %, a obtenu des contrats avec China Railway Corp. (CRC) pour fournir 15 trains à très grande vitesse CRH380D évalués à environ 381 millions $ et 80 voitures-lits pour trains à grande vitesse CRH1E-250 de nouvelle génération évaluées à environ 165 millions $, et elle a livré le premier train à très grande vitesse à son client Shanghai Railway Bureau.
- La coentreprise chinoise de Bombardier Transport, CSR Puzhen Bombardier Transportation Systems Ltd., a décroché son premier contrat pour un système de navettes automatisé INNOVIA APM 300 devant être livré à son client Shanghai Shentong Metro Co. Ltd.
- Le 9 décembre 2015, Laurent Troger est devenu président de Bombardier Transport.
Rapprochement des résultats sectoriels et des résultats consolidés (PDF)
Bombardier Inc. utilise son site Web comme canal de diffusion d’information importante sur l’entreprise. L’information financière et toute autre information importante relative à Bombardier Inc. est normalement affichée sur son site Web et est accessible à bombardier.com. Les investisseurs sont avisés par la présente qu’à partir de maintenant, l’information au sujet des dividendes réguliers déclarés et versés par Bombardier ne sera disponible que sur son site Web, à moins qu’elle n’y soit tenue selon les lois sur les valeurs mobilières applicables.
À propos de Bombardier
Bombardier est le leader mondial de la fabrication d’avions et de trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.
Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions se négocient à la Bourse de Toronto (BBD), et nous sommes l’une des entreprises composant l'indice de durabilité Dow Jones North America. Pour l'exercice clos le 31 décembre 2015, nos revenus ont totalisé 18,2 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l'adressebombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.
Bombardier, Challenger, Challenger 650, CS100, CS300, C Series, Global, Global 7000, Global 8000, INNOVIA, Learjet, Learjet 85 et L'évolution de la mobilité sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.
Pour plus d'informations
Isabelle Rondeau Directrice, Communications Bombardier Inc. +514 861 9481 | Patrick Ghoche Vice-président, Relations avec les investisseurs Bombardier Inc. +514 861 5727 |
Nous recommandons fortement aux lecteurs de consulter notre rapport de gestion ainsi que nos états financiers consolidés qui sont affichés sur notre site Web à ri.bombardier.com pour obtenir une analyse plus détaillée de nos résultats sectoriels.
ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur les objectifs, les prévisions, les cibles, les buts, les priorités, les marchés et les stratégies de l’entreprise, sa situation financière, ses croyances, ses perspectives, ses plans, ses attentes, ses anticipations, ses estimations et ses intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; la position de l’entreprise en regard de la concurrence; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur l’entreprise et ses activités; les liquidités disponibles et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; la réalisation de l’investissement par le gouvernement du Québec dans le programme d’avions C Series (l’investissement dans le programme C Series) et l’emploi du produit qui en sera tiré; l’emploi du produit du placement privé visant une participation minoritaire de la Caisse dans Transport (l’investissement de la Caisse et, avec l’investissement dans le programme C Series, les investissements); l’incidence des investissements sur la gamme des possibilités qui s’offrent à l’entreprise, y compris sa participation à une future consolidation dans le secteur; la structure du capital et de gouvernance du secteur Transport après l’investissement de la Caisse, et du secteur Avions commerciaux après l’investissement dans le programme C Series; l’incidence et les avantages escomptés des investissements sur les activités de l’entreprise, son infrastructure, ses occasions, sa situation financière, son accès à des capitaux et sa stratégie générale; et l’incidence de la vente d’une participation sur son bilan et sa situation financière. La mise en œuvre du regroupement d’actions est assujettie à de nombreuses conditions, y compris, sans s’y limiter, l’approbation de la Bourse de Toronto et celle des actionnaires, et, sous réserve du pouvoir du conseil d’administration, indépendamment de l’approbation du regroupement d’actions par les actionnaires, de déterminer à sa discrétion de ne pas réaliser le regroupement d’actions, sans autre approbation ou action des actionnaires ou préavis donné à ces derniers. Rien ne garantit que le regroupement d’actions sera mis en œuvre ou, le cas échéant, qu’il le sera dans la forme proposée, ni à quel moment il le sera, et rien ne garantit que le regroupement d’actions donnera lieu au cours initial par action postérieure au regroupement envisagé pour les actions classe A ou actions à droits de vote subalternes classe B.
Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que les résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que la direction juge ses hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes.
Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, l’entreprise note, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, au contexte commercial de l’entreprise (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail, à la politique commerciale, à l’accroissement de la concurrence, à l’instabilité politique et à des cas de force majeure), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, au développement de nouvelles activités, à la certification et à l’homologation de produits et services, aux engagements à modalités fixes et à la production et à l’exécution de projets, aux pressions sur les flux de trésorerie exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier, à la capacité de l’entreprise de mettre en œuvre avec succès sa stratégie et son plan de transformation, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l’environnement, à sa dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines, à la fiabilité des systèmes informatiques, à la fiabilité des droits relatifs à la propriété intellectuelle et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers, aux régimes d’avantages de retraite, à l’exposition au risque de crédit, à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt, à l’aide du financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle, à l’augmentation des prix des produits de base et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes de la section Autres du rapport de gestion du rapport financier de l'entreprise pour l'exercice clos le 31 décembre 2015. Certaines hypothèses importantes formulées par la direction pour faire des énoncés prospectifs comprennent, sans s’y limiter : le fait que la vérification diligente en cours menée par le gouvernement du Québec ne mettra pas au jour des faits ou des circonstances défavorables importants, le respect de toutes les conditions relatives à la réalisation de l’investissement dans le programme C Series, y compris l’obtention des approbations de tiers et des organismes de réglementation et d’autres approbations. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué de presse, se reporter à la rubrique Prévision et énoncés prospectifs de chaque secteur isolable du rapport financier de l'entreprise pour l'exercice clos le 31 décembre 2015. Rien ne peut garantir que l’investissement dans le programme C Series sera entrepris ou réalisé en totalité ou en partie ou le moment, la taille et le produit d’une telle transaction, qui dépendra de plusieurs facteurs.
Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de l’entreprise à la date du présent communiqué de presse et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables l’entreprise nie expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse ont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.
MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures non définies par les PCGR découlent directement des états financiers consolidés intermédiaires, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les définir différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de notre rapport financier intermédiaire une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement de la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections de chaque secteur d'activité du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.