01 mai 2014

Bombardier annonce ses résultats financiers du premier trimestre clos le 31 mars 2014

(Tous les montants de ce communiqué de presse sont exprimés en dollars américains, sauf indication contraire. Ce communiqué de presse contient à la fois des mesures conformes aux IFRS et des mesures non conformes aux PCGR. Les mesures non conformes aux PCGR sont définies et leur rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS est présenté dans le rapport de gestion de la Société. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.)

  • Revenus de 4,4 milliards $, contre 4,3 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
  • RAII avant éléments spéciaux(1) de 219 millions $, ou 5,0 % des revenus, contre 240 millions $, ou 5,5 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
  • Résultat net ajusté(1) de 151 millions $ (RPA ajusté(1) de 0,08 $), comparativement à 156 millions $ (RPA ajusté de 0,08 $) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
  • Utilisation des flux de trésorerie disponibles(1) de 915 millions $, contre une utilisation de 590 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent, incluant un investissement net de 500 millions $ en immobilisations corporelles et incorporelles
  • Sources de financement disponibles à court terme de 3,9 milliards $, y compris la trésorerie et les équivalents de trésorerie de 2,5 milliards $ au 31 mars 2014, contre respectivement 4,8 milliards $ et 3,4 milliards $ au 31 décembre 2013
  • Carnet de commandes record de 76,9 milliards $ au 31 mars 2014, comparativement à 69,7 milliards $ au 31 décembre 2013

(1) Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.

Bombardier a présenté aujourd’hui ses résultats financiers du premier trimestre clos le 31 mars 2014. Les revenus du trimestre ont été de 4,4 milliards $, comparativement à 4,3 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le résultat avant charges de financement, revenus de financement et impôts sur le résultat (RAII) du premier trimestre clos le 31 mars 2014 a été de 207 millions $, ou 4,8 % des revenus, comparativement à 240 millions $, ou 5,5 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII avant éléments spéciaux a été de 219 millions $, ou 5,0 % des revenus, comparativement à 240 millions $, ou 5,5 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le résultat net a été de 115 millions $, ou un résultat par action (RPA) de 0,06 $, comparativement à 148 millions $, ou 0,08 $, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Sur une base ajustée, le résultat net du premier trimestre clos le 31 mars 2014, a été de 151 millions $, ou un RPA de 0,08 $, comparativement à 156 millions $, ou un RPA de 0,08 $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

L’utilisation de flux de trésorerie disponibles (flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles moins les additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles) pour le trimestre clos le 31 mars 2014 a totalisé 915 millions $, contre une utilisation de 590 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Les sources de financement disponibles à court terme de 3,9 milliards $ au 31 mars 2014 incluaient un montant de trésorerie et équivalents de trésorerie de 2,5 milliards $ (4,5 milliards $ et 3,0 milliards $ sur une base pro forma)(1) , contre respectivement 4,8 milliards $ et 3,4 milliards $ au 31 décembre 2013. Le carnet de commandes global atteignait 76,9 milliards $ au 31 mars 2014, contre 69,7 milliards $ au 31 décembre 2013.

« Nous sommes satisfaits de nos résultats du premier trimestre et nous sommes en bonne voie de réaliser nos prévisions pour l’exercice 2014, a dit Pierre Beaudoin, président et chef de la direction, Bombardier Inc. Nous avons franchi d’importants jalons comme le vol inaugural du Learjet 85 en avril et nous avons reçu un montant record de nouvelles commandes de 8 milliards $ pour Bombardier Transport.

« Nos investissements soutenus dans un portefeuille de produits de premier plan rapportent, comme le démontre notre carnet de commandes record de 76,9 milliards $, lequel met en place les conditions gagnantes d’une forte croissance des revenus sur un horizon de cinq ans », a conclu M. Beaudoin.

Dans le cadre d’une gestion proactive des liquidités et des échéances, en mars 2014, Bombardier a prolongé d’une année chacune les périodes de disponibilité des facilités de lettres de crédit de Bombardier Aéronautique et Bombardier Transport et de ses facilités de crédit renouvelables non garanties. En avril 2014, Bombardier a émis des billets de premier rang non garantis totalisant 1,8 milliard $, dont 600 millions $ échéant en avril 2019 et 1,2 milliard $ échéant en octobre 2022. Le produit net servira à refinancer environ 1,3 milliard $ de dette existante et aux besoins généraux de l’entreprise.

Bombardier a amélioré sa souplesse financière par suite de cette opération en prolongeant d’environ une année l’échéance moyenne pondérée de sa dette en la portant à 7,1 ans et en ajoutant quelque 500 millions $ à ses sources de financement disponibles à court terme.

(1) Tient compte de notre émission de dette d’avril 2014.

Bombardier Aéronautique

Les revenus de Bombardier Aéronautique du trimestre clos le 31 mars 2014 ont été de 2,1 milliards $, contre 2,3 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII du premier trimestre a été de 93 millions $, ou 4,5 % des revenus, comparativement à 101 millions $ ou, 4,5 %, l’exercice précédent. Le RAII avant éléments spéciaux a totalisé 105 millions $, ou 5,0 % des revenus, pour le premier trimestre clos le 31 mars 2014, comparativement à 101 millions $, ou 4,5 %, l’exercice précédent. L’utilisation de flux de trésorerie disponibles a totalisé 545 millions $ (incluant des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles de 484 millions $) pour le premier trimestre clos le 31 mars 2014, comparativement à une utilisation de 461 millions $ (incluant des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles de 503 millions $) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Bombardier Aéronautique a livré un total de 56 avions au cours du premier trimestre clos le 31 mars 2014, contre 53 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent, et obtenu 91 commandes nettes, en regard de 28 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Bombardier Avions commerciaux a reçu au total 17 commandes fermes de biturbopropulseurs Q400 NextGen de six clients d’Amérique du Nord, du Moyen-Orient et d’Asie-Pacifique. Il a aussi signé avec Al Qahtani Aviation Company du Royaume d’Arabie Saoudite une commande ferme portant sur 16 avions CS300, évaluée à 1,2 milliard $ selon le prix affiché, assortie d’options pour 10 autres. En date d’aujourd’hui, le groupe a signé des commandes fermes et autres ententes visant au total de 447 avions CSeries avec 18 clients et exploitants dans 15 pays, dont des commandes fermes de 203 appareils.

Le programme d’avions CSeries continue de bien progresser. Les résultats des essais à ce jour, incluant les essais en chambre climatique sur la base de l’armée de l’air de Eglin en Floride, sont conformes à nos attentes. Nous avons élargi l’enveloppe de vol à une altitude d’exploitation maximale de 12 497 mètres (41 000 pieds) et une vitesse de croisière maximale de Mach 0,82 (871 km/h). Au cours des prochaines semaines, il est prévu que le quatrième véhicule d’essais en vol (FTV4) effectue son vol inaugural.

Au cours du premier trimestre, Bombardier Avions d’affaires a signé une commande ferme avec un client préférant garder l’anonymat portant sur trois avions Global 6000, deux avions Global 7000 et trois avions Global 8000, d’une valeur totale de 537 millions $ selon les prix affichés. Le 9 avril, le premier véhicule d’essais en vol Learjet 85 a réalisé son vol inaugural. D’autres vols ont été effectués depuis et se sont déroulés comme prévu et aucun enjeu important n’a été relevé. Une mise à jour sur la date de l’entrée en service sera faite dès qu’un examen du calendrier du programme d’essais en vol sera achevé.

Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique atteignait le record de 38,5 milliards $ au 31 mars 2014, comparativement à 37,3 milliards $ au 31 décembre 2013.

Bombardier Transport

Les revenus de Bombardier Transport pour le trimestre clos le 31 mars 2014 ont été de 2,3 milliards $, comparativement à 2,1 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent, une augmentation de 7 % excluant les incidences de taux de change. Le RAII a été de 114 millions $, ou 5,0 % des revenus, comparativement à 139 millions $, ou 6,7 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation de flux de trésorerie disponibles du trimestre clos le 31 mars 2014 a totalisé 256 millions $, comparativement à une utilisation de 73 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Les nouvelles commandes ont totalisé 8,0 milliards $ (ratio de nouvelles commandes sur revenus de 3,5), comparativement à 2,0 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent, portant le carnet de commandes à un nouveau niveau record de 38,4 milliards $ au 31 mars 2014, comparativement à 32,4 milliards $ au 31 décembre 2013.

Au cours du premier trimestre, le groupe a reçu les principales commandes suivantes. Dans le cadre d’un consortium, Bombardier Transport a signé un contrat avec l’État du Queensland, en Australie, pour le New Generation Rollingstock Project. Sa part du contrat, soit la livraison de rames automotrices électriques, la construction d’installations d’entretien spécialisées et 30 années de service d’entretien du parc de véhicules, est évaluée à environ 2,7 milliards $. Le groupe a signé un contrat avec Transport for London, du Royaume-Uni, pour fournir 65 trains AVENTRA, de neuf voitures chacun, et un nouveau centre de maintenance spécialisé pour le projet London Crossrail. Le contrat, incluant aussi de la maintenance du parc de véhicules, est évalué à environ 2,1 milliards $. Un contrat a été signé avec Transnet Freight Rail, en Afrique du Sud, pour la livraison de 240 locomotives TRAXX dont la valeur s’élève à environ 1,2 milliard $, et enfin la société de transport Bay Area Transit District (BART) de San Francisco, aux États-Unis, a exercé une option pour 365 voitures de trains additionnelles, d’une valeur d’environ 639 millions $, portant ainsi la commande totale à 775 voitures pour une valeur totale d’environ 1,5 milliard $.

Faits saillants financiers

Principales informations financières

DIVIDENDES SUR ACTIONS ORDINAIRES

Actions classe A et classe B 
Un dividende trimestriel de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe A (droits de vote multiples) et de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe B (droits de vote limités) est payable le 30 juin 2014 aux porteurs d'actions inscrits à la fermeture des marchés le 13 juin 2014.

Les porteurs d'actions classe B (droits de vote limités) inscrits à la fermeture des marchés le 13 juin 2014 ont aussi droit à un dividende prioritaire trimestriel de 0,000390625 $ CAN par action.

DIVIDENDES SUR ACTIONS PRIVILÉGIÉES

Actions privilégiées, série 2 
Un dividende mensuel sur les actions privilégiées, série 2 de 0,0625 $ CAN par action a été payé les 15 février, 15 mars et 15 avril 2014.

Actions privilégiées, série 3 
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 3 de 0,195875 $ CAN par action est payable le 31 juillet 2014 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 11 juillet 2014.

Actions privilégiées, série 4 
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 4 de 0,390625 $ CAN par action est payable le 31 juillet 2014 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 11 juillet 2014.

À propos de Bombardier

Bombardier est le seul constructeur au monde à fabriquer à la fois des avions et des trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership mondial en transport résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.

Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto, et nous sommes l’une des entreprises composant les indices de durabilité Dow Jones Sustainability World et Dow Jones Sustainability North America. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2013, nos revenus ont été de 18,2 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse  bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter:  @Bombardier.

AVENTRA, Bombardier, CS300, CSeries, Global, Global 6000, Global 7000, Global 8000, Learjet, Learjet 85, L’évolution de la mobilité, NextGen et TRAXX sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Pour plus d'informations

Isabelle Rondeau
Directrice, Communications
Bombardier Inc.
+514 861 9481
Shirley Chénier
Directrice principale, Relations avec les investisseurs
Bombardier Inc.
+514 861 9481

Le rapport de gestion et les états financiers intérimaires consolidés sont disponibles à l’adresse Internet ri.bombardier.com

ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; et l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous formulions des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que nous jugions nos hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à notre disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes.

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien et des principaux exploitants ferroviaires, à l’instabilité politiques et à des cas de force majeure), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, aux engagements à modalités fixes et à la production et à l’exécution de projets, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur le rendement des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l’environnement, à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers, aux régimes d’avantages de retraite, à l’exposition au risque de crédit, à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt, à l’aide du financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale) et au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle et à l’augmentation des prix des produits de base). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion de notre rapport financier annuel pour l’exercice clos le 31 décembre 2013. Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas s’y fier indûment. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent nos attentes à la date du présent communiqué et pourraient subir des modifications après cette date. À moins que nous n’y soyons tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures, non définies par les PCGR, découlent directement des états financiers consolidés intermédiaires, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les calculer différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de nos rapports financiers une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement dans la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections Aéronautique et Transport du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.