29 octobre 2015
Résultats financiers
Bombardier annonce ses résultats financiers du troisième trimestre clos le 30 septembre 2015 Le gouvernement du Québec investit 1 milliard $ dans un partenariat avec Bombardier pour le C Series
(Tous les montants de ce communiqué de presse sont exprimés en dollars américains, sauf indication contraire. Les montants des tableaux sont en millions, sauf les montants par action, sauf indication contraire. Ce communiqué de presse contient à la fois des mesures conformes aux IFRS et des mesures non conformes aux PCGR. Les mesures non conformes aux PCGR sont définies et leur rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS est présenté dans le rapport de gestion de la Société. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.)
- Revenus de 4,1 milliards $; carnet de commandes de 61,8 milliards $
- Solides liquidités de 3,7 milliards $
- Essais en vol du C Series réalisés à 97 % et certification imminente
- Charge de 3,2 milliards $ comptabilisée pour le programme C Series
- Annonce de l'annulation du programme d'avion Learjet 85
- Équipe de direction renforcée avec la nomination de Nico Buchholz au poste de vice-président principal et chef de la direction de l'approvisionnement
Bombardier a présenté aujourd'hui ses résultats financiers du troisième trimestre clos le 30 septembre 2015. Les revenus du trimestre ont totalisé 4,1 milliards $, contre 4,9 milliards $ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent.
Pour le troisième trimestre clos le 30 septembre 2015, le résultat (perte) avant charges de financement, revenus de financement et impôts sur le résultat (RAII) a totalisé une perte de 4,6 milliards $ contre un bénéfice de 171 millions $ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent.
La perte nette a totalisé 4,9 milliards $, ou une perte par action de 2,20 $, en raison des éléments spéciaux, surtout liés aux charges de dépréciation de l'outillage des programmes C Series et Learjet 85, contre un résultat net de 74 millions $, ou un résultat par action (RPA) de 0,03 $, pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. Sur une base ajustée, le résultat net du troisième trimestre clos le 30 septembre 2015 a été de 2 millions $, ou un RPA de néant, contre 222 millions $, ou 0,12 $, pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent.
Pour le trimestre clos le 30 septembre 2015, l'utilisation de flux de trésorerie disponibles (flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles moins les additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles) s'est élevée à 816 millions $, contre une utilisation de 368 millions $ pour le trimestre correspondant de l'exercice précédent. Au 30 septembre 2015, les sources de financement disponibles à court terme de 3,7 milliards $ incluaient la trésorerie et les équivalents de trésorerie de 2,3 milliards $, contre respectivement 3,8 milliards $ et $2,5 milliards $ au 31 décembre 2014. Le carnet de commandes global atteignait 61,8 milliards $ au 30 septembre 2015, contre 69,1 milliards $ au 31 décembre 2014.
« Après seulement quelques mois, nous avons renforcé notre équipe de direction, nous avons réalisé des examens en profondeur de notre entreprise, et nous avons une idée beaucoup plus claire de ce que nous avons à faire, a dit Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc. Nous menons les actions qui s'imposent et avons renforcé nos liquidités, ce qui nous donne la confiance nécessaire pour exécuter notre plan stratégique à long terme.
« Aujourd'hui, nous sommes fiers d'annoncer que le gouvernement du Québec investira 1 milliard $ dans le programme d'avions C Series. Ce partenariat arrive à un point tournant, le C Series étant à la veille d'être certifié. Le marché est à notre portée, notre leadership est en place, nous avons le meilleur produit et avec le soutien du gouvernement, nous sommes prêts à faire de cet avion un succès commercial », a ajouté M. Bellemare.
Conformément à sa stratégie, Bombardier a poursuivi le placement d'une participation minoritaire de son secteur d'activité Transport. Bombardier Transport est un leader mondial sur son marché avec une présence manufacturière locale dans plus de 20 pays, le plus vaste portefeuille de produits et services, et l'organisation d’ingénierie la plus importante de l'industrie. Les excellentes perspectives du secteur de transport sur rail ont été reconnues lors de conversations préliminaires avec des investisseurs potentiels, et l'entreprise devrait faire une annonce bientôt.
Depuis le lancement du plan de transformation de Bombardier au deuxième trimestre de 2015, l'entreprise a réalisé une évaluation ascendante des changements opérationnels nécessaires à son succès. Par ce processus, les équipes de transformation ont identifié de nombreuses initiatives clés afin de réaliser d'importantes économies au cours de cinq prochaines années. Ces initiatives sont en phase de validation ou en phase d'exécution par les équipes des secteurs d'activité pour générer les économies prévues. Les efforts sont actuellement centrés sur la réduction des stocks et la réduction des coûts, lesquels représentent d'importants moteurs de la compétitivité de Bombardier.
En septembre 2015, le vétéran de l'industrie du transport aérien Nico Buchholz a été nommé vice-président principal et chef de la direction de l'approvisionnement, Bombardier Inc. Auparavant, M. Buchholz a travaillé 14 ans chez Lufthansa, où il était responsable de la flotte de l'entreprise, y compris de l'approvisionnement en avions et en moteurs. Dans ce nouveau poste, son rôle principal est de s'assurer que les biens et services achetés par Bombardier respectent les standards les plus élevés sur les plans de la qualité, de la livraison à temps et de la rentabilité.
Investissement du gouvernement du Québec dans le programme d'avions C Series
Bombardier a conclu un protocole d’entente prévoyant un investissement de 1,0 milliard $ par le ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations du Québec (par l’intermédiaire d’Investissement Québec) (le Gouvernement) en contrepartie d’une participation de 49,5 % dans une société en commandite nouvellement constituée (l’investissement) à laquelle seraient transférés les actifs, passifs et obligations du programme d’avions C Series. Cette société en commandite nouvellement constituée sera détenue dans une proportion de 50,5 % par la Société et, à titre de filiale de la Société, elle poursuivra les activités liées au programme d’avions C Series de la Société. Par suite de l’investissement, la société en commandite nouvellement constituée continuera d'être incluse dans le périmètre de consolidation des résultats financiers de Bombardier. L’investissement a été approuvé par le conseil d’administration de Bombardier et le Conseil des ministres du gouvernement du Québec et demeure conditionnel à la conclusion d’ententes définitives, à l’obtention du consentement de tiers, à la réalisation d’une restructuration interne préalable à la clôture, à l’obtention des approbations réglementaires requises et au respect des autres conditions préalables habituelles. Le produit de l’investissement sera entièrement affecté au fonds de roulement du programme d’avions C Series.
L’investissement comprend également l’émission de bons de souscription au Gouvernement pouvant être exercés en vue d’acquérir jusqu’à concurrence de 200 000 000 d’actions classe B (droits de vote limités) du capital de Bombardier (les actions classe B) (représentant environ 8,18 % de la totalité des actions classe A (droits de vote multiples) émises et en circulation du capital de Bombardier (les actions classe A) et des actions classe B en supposant l’exercice des bons de souscription, et environ 8,90 % de la totalité des actions classe A et des actions classe B émises et en circulation, compte non tenu de la dilution), à un prix d’exercice par action correspondant à l’équivalent en $ US de 2,21 $ CAN à la date de signature des ententes définitives, ce qui représente une prime par rapport au cours moyen pondéré en fonction du volume (CMPV) des actions classe B à la TSX pendant une période de cinq jours en date du 20 octobre 2015. La TSX a décidé d’accepter l’avis concernant le placement privé de bons de souscription et a approuvé sous condition l’inscription à sa cote des actions classe B pouvant être émises selon les modalités des bons de souscription sur le TSX. L’inscription sera subordonnée à l’obligation pour Bombardier de remplir toutes les conditions d’inscription de la TSX. Les bons de souscription auront une durée de cinq ans à compter de la date d’émission et ne seront pas inscrits à la cote de la TSX. Les bons de souscription (et toute action classe B pouvant être émise par suite de l’exercice des bons de souscription avant l’expiration de la période de détention applicable) seront assujettis à la période de détention de quatre mois prévue par la loi. Les bons de souscription seront assortis des dispositions habituelles du marché en matière de rajustement, dont celles qui s’appliquent en cas de changements touchant l’entreprise, de fractionnements des actions, de dividendes autres qu’en espèces, de distributions de droits, d’options ou de bons de souscription à la totalité ou à la quasi-totalité des actionnaires ou de regroupements.
L’approbation des porteurs de titres est requise en vertu des règles de la TSX, étant donné que les bons de souscription seront émis après la période de 45 jours qui suit la date d’établissement du prix d’exercice, ainsi qu’il est indiqué à l’article 607f)(i) du Guide à l’intention des sociétés de la TSX. Cette approbation a été obtenue, ainsi qu’il a été convenu avec la TSX, au moyen du consentement écrit des actionnaires détenant plus de 50 % des droits de vote s’attachant à toutes les actions émises et en circulation de Bombardier.
L’investissement a fait l’objet de négociations sans lien de dépendance entre Bombardier et le Gouvernement et n’aura pas d’incidence importante sur le contrôle de Bombardier.
Il est prévu que les ententes définitives seront signées au plus tard le 1er janvier 2016, ou à toute autre date dont la Société et le Gouvernement peuvent convenir. Le décaissement de l’investissement et l’émission des bons de souscription se feront en deux étapes, qui devraient avoir lieu le 1er avril 2016 et le 30 juin 2016, respectivement, sous réserve des conditions relatives à la clôture.
L’investissement prévoit un engagement de continuité aux termes duquel Bombardier doit conserver dans la province de Québec, pendant une période de 20 ans, le siège social stratégique, financier et opérationnel, les activités de fabrication et les services d’ingénierie, les services partagés ainsi que les politiques, pratiques et plans d’investissement en matière de recherche et développement de la société en commandite nouvellement constituée, dans chaque cas, en ce qui concerne la conception, la fabrication et la commercialisation des biréacteurs CS100 et CS300 ainsi que le service après-vente de ces biréacteurs et Bombardier doit exploiter les installations situées à Mirabel à cette fin.
La participation que détient le Gouvernement dans la société en commandite sera rachetable dans certaines circonstances.
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS SECTORIELS
Avions d'affaires
- Le 28 octobre 2015, en raison de l'absence de ventes à la suite de la faiblesse prolongée du marché, Bombardier a mis fin au programme d’avion Learjet 85. Par conséquent, une charge de 1,2 milliard $ a été comptabilisée dans les éléments spéciaux au troisième trimestre de 2015, liée principalement à la dépréciation des coûts de développement restants du programme Learjet 85 et à une hausse des autres provisions. Bombardier maintient son engagement à l’égard de la gamme d’avions Learjet.
- Les moteurs ont été installés sur le premier véhicule d'essais en vol (FTV) Global 7000. Tous les éléments structuraux du FTV1 sont assemblés, notamment les sections arrière, centrale, et avant du fuselage, l’aile, les trains d’atterrissage, la dérive et le stabilisateur. De plus, l’installation des faisceaux de câblage et les procédures d’essais fonctionnels ont commencé sur le FTV1.
- Le FTV2 est en assemblage final, l’assemblage d’éléments structuraux importants étant réalisé, notamment les sections arrière, centrale, et avant du fuselage et le poste de pilotage. Deux FTV supplémentaires en sont à divers stades de production et d’assemblage.
- Le banc d’essai et de certification intégré des systèmes (ISTCR) a été mis en service et les essais en vue de l’obtention de la licence de sécurité aérienne sont en cours. Le banc d’essai intégré des systèmes avioniques (SITS) a été installé au site de Toronto et l’article d’essai statique de cellule complète (CAST) du Global 7000 a été mis en service. Ces articles d'essais complets garantiront la maturité de la structure et des systèmes de l’avion tout au long du programme d’essais en vol et avant la mise en service (MES). Le développement du moteur par notre fournisseur et les essais au sol et en vol du moteur progressent comme prévu. La MES de l’avion est prévue pour le deuxième semestre de 2018.
- Le programme de certification de l’avion Challenger 650 est réalisé à 95 % et progresse vers une MES au quatrième trimestre de 2015. Un avion Challenger 605 équipé d’une suite avionique évoluée a été utilisé pour effectuer des tests de certification.
Avions commerciaux
- À la suite d’un examen approfondi du programme d’avions C Series et de discussions avec le gouvernement du Québec, ayant résulté en un protocole d'entente, une charge de 3,2 milliards $ a été comptabilisée dans les éléments spéciaux au troisième trimestre de 2015, liée principalement à la dépréciation de l’outillage des programmes aéronautiques. Bombardier continue de croire que le programme d'avions C Series répond aux besoins particuliers du marché et qu'il possède un potentiel de marché à long terme.
- L'avion CS100 a cumulé plus de 2800 heures d'essais en vol, représentant 97 % du programme d'essais en vol, et dans l'ensemble, le programme de certification du CS100 est réalisé à plus de 90 %. La configuration de certification est maintenant établie. L'avion CS100 a réalisé avec succès tous les essais de performance sonore, confirmant qu’il s’agit du biréacteur commercial en production le plus silencieux de sa catégorie.(1)
- La certification de type de l’avion CS100 est prévue d’ici la fin de 2015. Les avions CS100 et CS300 ont en commun plus de 95 % de leurs pièces, ainsi que la même qualification de type. La certification de l’avion CS300 est réalisée à plus de 60 % et la certification de type de l’avion CS300 devrait suivre environ six mois après celle de l’avion CS100. La MES de l’avion CS100 devrait avoir lieu au premier semestre de 2016 avec Swiss International Air Lines (SWISS) à titre de premier exploitant. SWISS collabore actuellement avec les équipes de formation du service à la clientèle de Bombardier et prépare son exploitation en vue de la MES de l’avion CS100.
- Les essais en vol des cinq FTV CS100 sont en cours; plusieurs étapes importantes des essais ont été franchies et tous les systèmes sont performants. Des passagers ont volé à bord de l’avion CS100 pour la première fois dans le cadre du programme d’essais de la cabine. Les essais planifiés du premier FTV CS300, notamment les essais de flottement, de maniement, de performance de croisière, de décollage et d’atterrissage par vent de travers, de freinage et d’anti-dérapage, ont été réalisés. Tous les avions se sont révélés d’une fiabilité élevée et leur performance ainsi que les résultats des essais sont conformes aux attentes. L’assemblage du deuxième FTV CS300est en cours aux installations d’assemblage des avions C Series à Mirabel, au Québec. L’avion est désormais sous tension et devrait sortir de la chaîne de production plus tard cette année.
- Les résultats de performance des essais en vol et des essais structuraux des avions continuent de dépasser les objectifs initiaux en matière de consommation de carburant, de charge utile, de distance franchissable et de performance sur piste.(1)
- Au cours du quatrième trimestre de 2015, l’étape finale des essais en vol a débuté, alors qu’ont commencé les essais de fonctionnement et de fiabilité du premier avion de série CS100. Afin de réaliser ces essais, l’avion sera exploité selon un horaire similaire à celui d’une société aérienne commerciale. D’autres avions de série progressent sur la chaîne d’assemblage, notamment les unités destinées à l’exploitant de lancement, SWISS.
(1) Principaux objectifs de performance, sous certaines conditions d’exploitation, par rapport aux avions actuellement en production, sur des vols de 500 milles marins. Se reporter à la mise en garde relative aux programmes d’avions C Series à la fin du rapport de gestion pour le trimestre clos le 30 septembre 2015.
Aérostructures et Services d'ingénierie
Transport
- Bombardier Transport a signé deux contrats avec Transport for London (TfL) pour la construction et la maintenance de 45 rames automotrices électriques de quatre voitures évalués à environ 558 millions $. Le premier contrat couvre la conception, la fabrication, la mise en service de 180 nouveaux véhicules et le second vise la maintenance des nouveaux véhicules pendant une période de 35 ans. En addition aux contrats de base, les contrats comprennent une option pour un maximum de 24 trains additionnels et la possibilité de prolonger de cinq ans les services de maintenance.
- Bombardier Sifang Transportation, une entité chinoise dans laquelle Bombardier détient une participation de 50 %, a obtenu un contrat avec China Railway Corp. (CRC) pour fournir 15 trains à très grande vitesse CRH380D évalué à environ 381 millions $. La commande confirme la performance du modèle d'affaires de Bombardier pour ce marché restreint et notre position de leader parmi les acteurs occidentaux en Chine.
- Crosslinx Transit Solutions Maintenance General Partnership de Toronto, au Canada, a octroyé à Bombardier Transport un contrat visant à fournir 30 ans de service de maintenance pour des véhicules légers sur rail FLEXITYFreedom qu'il fabriquera pour exploitation sur la nouvelle ligne Eglinton Crosstown à Toronto. Ce contrat est évalué à environ 308 millions $.
- Bombardier Transport a signé un contrat pour fournir 62 locomotives TRAXX AC aux Chemins de fer israéliens.Selon le prix affiché, la nouvelle commande est évaluée à environ 262 millions $. Le contrat inclut aussi une option sur 32 locomotives additionnelles.
- Plusieurs commandes de petite et moyenne taille dans diverses régions et divers segments de produits ont aussi été remportées au cours du troisième trimestre 2015 et Bombardier Transport a maintenu une position de leader(1) dans l'ensemble du marché ferroviaire accessible(2).
- Le placement, précédemment annoncé, visant une participation minoritaire dans Bombardier Transport progresse bien. Après le placement, Bombardier Transport continuera d’être contrôlé par Bombardier Inc. et ses résultats continueront d’être inclus dans le périmètre de consolidation de l'entreprise.
(1) D’après les nouvelles commandes des 36 derniers mois avec les données les plus récentes des sociétés publiant leurs nouvelles commandes pour au moins 36 mois.
(2) L’ensemble du marché ferroviaire accessible est le marché mondial du transport sur rail, à l’exclusion de la part des marchés liée à des contrats attribués à des acteurs locaux sans appel d’offres. Le marché accessible de Bombardier Transport exclut aussi les segments infrastructures, wagons à marchandises et locotracteurs.
Rapprochement des résultats sectoriels et des résultats consolidés (PDF)
À propos de Bombardier
Bombardier est le leader mondial de la fabrication d’avions et de trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.
Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto, et nous sommes l’une des entreprises composant l'indice de durabilité Dow Jones Sustainability North America. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2014, nos revenus ont été de 20,1 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter @Bombardier.
Notes aux éditeurs
Pour en savoir plus sur la contribution économique de Bombardier à l'économie canadienne, veuillez visiter le : http://www.bombardier.com/Bombardier-Canadian-industrial-leader-2015-fr.pdf
Bombardier, Challenger, Challenger 605, Challenger 650, CS100, CS300, C Series, FLEXITY, Global, Global 7000, Learjet, Learjet 85, L'évolution de la mobilité et TRAXX sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.
Pour plus d'informations
Isabelle Rondeau
Directrice, Communications
Bombardier Inc.
+514 861 9481
Yan Lapointe
Gestionnaire, Relations avec les investisseurs
Bombardier Inc.
+514 861 9481
Le rapport de gestion et les états financiers intérimaires consolidés sont disponibles à l'adresse ri.bombardier.com.
ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur les objectifs, les prévisions, les cibles, les buts, les priorités, les marchés et les stratégies, la situation financière, les croyances, les perspectives, les plans, les attentes, les anticipations, les estimations et les intentions de la Société; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; la position de la Société en regard de la concurrence; et l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur la Société et ses activités; les liquidités disponibles et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières, le lancement ainsi que la réalisation d’un premier appel public à l’épargne (« PAPE ») ou d’un placement privé visant une participation minoritaire et le produit qui en découle; la réalisation de l’investissement par le gouvernement du Québec dans le programme d’avions C Series (l’ « investissement ») et l’emploi du produit qui en sera tiré; les avantages escomptés et l’incidence d’un PAPE ou d’un placement privé visant une participation minoritaire et de l’investissement sur les activités, l'infrastructure, les occasions, la situation financière, l'accès à des capitaux et la stratégie générale de la Société l’incidence d’un PAPE ou d’un placement privé visant une participation minoritaire sur le prix de l’action de la Société, l’énoncé selon lequel un PAPE ou un placement privé visant une participation minoritaire d’une filiale devrait aider à cristalliser la valeur de l’action, l’incidence de la vente de titres sur le bilan et les liquidités de la Société, l’incidence d’un PAPE ou d’un placement privé visant une participation minoritaire sur la gamme des possibilités qui s’offrent à la Société, la participation de la Société à une future consolidation dans le secteur du matériel ferroviaire, la bourse à laquelle un PAPE serait réalisé, la structure du capital et de gouvernance du secteur Transport après un PAPE ou un placement privé visant une participation minoritaire, l’obtention des approbations requises, notamment celles de tiers et des organismes de réglementation, et le moment prévu de l’obtention de ces approbations. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que les résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que la direction juge ses hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes.
Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, au contexte commercial de la Société (tels les risques liés à la situation financière des industries du transport aérien et du transport sur rail, à l’instabilité politique et à des cas de force majeure), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, aux engagements à modalités fixes et à la production et à l’exécution de projets, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l’environnement, la dépendance de la Société à l’égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers, aux régimes d’avantages de retraite, à l’exposition au risque de crédit, à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt, à l’aide du financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle et à l’augmentation des prix des produits de base), au non-respect des conditions relatives à la réalisation de l’investissement, au fait de ne pas obtenir les approbations requises, notamment celles de tiers et des organismes de réglementation, et à la modification des modalités de l’investissement. Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2014. Certaines hypothèses importantes formulées par la direction pour faire des énoncés prospectifs comprennent, sans s’y limiter : la décision de lancer un PAPE ou un placement privé visant une participation minoritaire ainsi que le moment où il le serait, sa taille et sa réussite; la capacité de la Société à mener à bien un PAPE ou un placement privé visant une participation minoritaire dans des conditions de marché favorables, le fait que la vérification diligente en cours menée par le gouvernement du Québec ne mettra pas au jour des faits ou des circonstances défavorables importants; le respect de toutes les conditions relatives à la réalisation de l’investissement; l’obtention des approbations requises, notamment celles de tiers et des organismes de réglementation; et la capacité de la Société à mener à bien l’investissement. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse, voir les rubriques Prévisions et Énoncés prospectifs du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2014. Rien ne peut garantir qu’un PAPE ou un placement privé visant une participation minoritaire, ou l’investissement ou une autre opération sera entrepris ou réalisé en totalité ou en partie ou le moment, la taille et le produit d’un tel placement ou d’une telle opération, qui dépendra de plusieurs facteurs, notamment des conditions qui prévaudront sur le marché.
Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent nos attentes à la date du présent communiqué et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenue selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, la Société nie expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.
MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures non définies par les PCGR découlent directement des états financiers consolidés intermédiaires, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les définir différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de notre rapport financier intermédiaire une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement de la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections de chaque secteur d'activité du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.