08 novembre 2018
Résultats financiers
Bombardier présente ses résultats du troisième trimestre de 2018, annonce la vente d’actifs non stratégiques et des mesures pour rationaliser sa structure et améliorer sa productivité
- Hausse de 48 % du résultat(1) par rapport à celui du trimestre correspondant de l’exercice précédent pour s’établir à 271 M$ sur des revenus de 3,6 G$
- Réduction de 125 M$, ou 25 %, de l’utilisation des flux de trésorerie disponibles(2) par rapport à celle du trimestre correspondant de l’exercice précédent
- Produit net prévu de ~900 M$ provenant surtout de la vente d’actifs non stratégiques: le programme d’avions Q Series et les activités de formation des pilotes et des techniciens d’Avions d’affaires(3)
- Avion Global 7500(4) certifié par Transports Canada et la FAA; en voie d’être mis en service avant la fin de l’année
- Lancement d’initiatives de productivité à l’échelle de l’entreprise pour des économies annuelles récurrentes prévues de 250 M$ d’ici 2021(3)
- Mise à jour des prévisions(3) pour 2018: revenus ~16,5 G$; RAII(1) ~1 G$; et flux de trésorerie disponibles(2) neutres ±150 M$, incluant le produit net de la vente de Downsview
- Présentation de prévisions(3) pour 2019: croissance prévue des revenus de ~10 %; croissance prévue du RAII(1) de ~20 %; et amélioration de la génération de trésorerie
Bombardier (TSX: BBD.B) a publié aujourd’hui ses résultats du troisième trimestre de 2018 marqués par une forte croissance du résultat. L’entreprise a aussi annoncé un certain nombre de mesures stratégiques, incluant le lancement d’un programme visant à améliorer la productivité à l’échelle de l’entreprise. Ce programme devrait générer des économies annuelles récurrentes de 250 millions $ à pleine production, ce que nous prévoyons d’ici 2021. Bombardier a signé des ententes définitives pour la vente d’actifs non stratégiques et le versement de redevances qui devraient générer un produit net d’environ 900 millions $, accroissant la marge de manoeuvre financière de l’entreprise qui se rapproche de la dernière phase de son plan de redressement, celle du désendettement. Les autres faits saillants du trimestre incluent la certification de l’avion d’affaires Global 7500 qui ouvre la voie à la mise en service de l’appareil en décembre 2018 et marque la fin du cycle d’investissements massifs de l’entreprise.
« Notre cycle d’investissements massifs étant maintenant complété, nous continuons à progresser dans l’exécution de notre plan de redressement, a dit Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc. Avec les annonces d’aujourd’hui, nous mettons en œuvre les prochaines mesures nécessaires pour concrétiser la pleine valeur du portefeuille de Bombardier. Durant la phase de construction des résultats et des flux de trésorerie disponibles de notre redressement, nous continuerons de façon proactive à recentrer et rationaliser l’entreprise ainsi qu’à allouer nos capitaux avec discipline. Je suis très fier de ce que nous avons accompli jusqu’ici, et je suis très enthousiaste face à notre avenir. »
Les revenus de Bombardier ont atteint 3,6 milliards $ pour le trimestre, une croissance interne de 3 % par rapport à ceux du trimestre correspondant de l’exercice précédent provenant de Transport, d’Avions d’affaires et d’Aérostructures, alors que l’entreprise a retiré le programme C Series de son périmètre de consolidation à la suite de la clôture du partenariat avec Airbus. Bombardier prévoit pour l’exercice des revenus d’environ 16,5 milliards $, à l’extrémité inférieure de la fourchette de la prévision.
L’entreprise a dégagé une solide rentabilité au troisième trimestre, réalisant sa meilleure performance trimestrielle depuis des années. Le RAII avant éléments spéciaux(2) a augmenté de 48 % par rapport à celui du trimestre correspondant de l’exercice précédent, pour s’établir à 271 millions $, et est en bonne voie d’atteindre l’extrémité supérieure de la fourchette de la prévision pour l’exercice, soit environ 1,0 milliard $. Pour le même trimestre, la marge RAII avant éléments spéciaux(2) a augmenté de 260 points de base pour s’établir à 7,4 %, selon la tendance des marges(5) supérieures à 8 % chez Transport, Avions d’affaires et Aérostructures. Chez Avions commerciaux, le RAII avant éléments spéciaux a été proche du seuil de rentabilité étant donné le retrait de la perte du programme C Series du périmètre de consolidation nette de la quote-part de l’entreprise de la perte nette associée.
L’utilisation des flux de trésorerie disponibles pour le trimestre a été de 370 millions $, une amélioration de 25 % par rapport à celle du trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation de trésorerie au troisième trimestre est attribuable à l’accumulation de fonds de roulement chez Transport alors que l’entreprise est toujours en phase intense de livraisons. Il est prévu que cela se poursuive au quatrième trimestre et se rétablisse en grande partie en 2019. En conséquence, Bombardier rajuste sa prévision de flux de trésorerie disponibles pour 2018 pour y inclure le produit de la vente du site de Downsview. Avec cela, l’entreprise compte toujours présenter pour l’exercice des flux de trésorerie disponibles neutres plus ou moins 150 millions $.
Recentrage du portefeuille, cession d’actifs non stratégiques
Conformément à sa stratégie de se concentrer sur les occasions de croissance de Transport, Avions d’affaires et Aérostructures, Bombardier a aussi annoncé aujourd’hui qu’elle cédait un certain nombre d’actifs non stratégiques. L’entreprise a signé des ententes définitives visant (i) la vente du programme d’avions Q Series et de la marque de commerce de Havilland à une filiale en propriété exclusive de Longview Aviation Capital Corp. pour environ 300 millions $; et (ii) la vente des activités de formation des pilotes et des techniciens d’Avions d’affaires à CAE et le versement de redevances pour environ 800 millions $.
La clôture de ces transactions devrait avoir lieu d’ici le second semestre de 2019, sous réserve de l’obtention des approbations des organismes de réglementation. Le produit net des transactions devrait totaliser environ 900 millions $ déduction faite de certains passifs, frais et ajustements de clôture.
Rationaliser la structure
Bombardier a aussi lancé aujourd’hui à l’échelle de l’entreprise un nouveau programme pour accroître sa productivité visant à rationaliser, alléger et simplifier davantage sa structure. Le programme comprend deux mesures. Premièrement, le cycle d’investissements massifs en aéronautique étant terminé, Bombardier rajustera la taille de son équipe centrale d’ingénierie aéronautique et la redéploiera. Les membres clés de l’équipe d’ingénierie seront redéployés dans les secteurs d’activité, la majorité allant chez Avions d’affaires pour s’assurer que ce secteur d’activité dispose de toutes les compétences nécessaires au développement des futurs programmes d’avions d’affaires.
Bombardier créera aussi un nouveau Bureau de Technologies de pointe (BTP), lequel sera dirigé par François Caza qui est nommé chef de la direction de la technologie. Les activités du BTP seront centrées sur la conception et l’ingénierie de systèmes, y compris l’application de l’expérience des programmes aéronautiques de Bombardier à ses activités de transport sur rail.
En plus de rajuster la taille et redéployer son équipe centrale d’ingénierie, Bombardier a lancé une initiative de restructuration, à l’échelle de l’entreprise, axée sur l’optimisation des processus de production et de gestion, la simplification des structures de gestion et une réduction accrue des coûts indirects.
Globalement, ces efforts entraîneront une réduction d’environ 5000 postes à l’échelle de l’entreprise au cours des 12 à 18 prochains mois, et donnera lieu à des économies annuelles d’environ 250 millions $ lorsque la réduction aura été totalement réalisée, ce qui devrait se concrétiser d’ici 2021. Bombardier s’attend aussi à comptabiliser une charge de restructuration d’un montant similaire qui sera présentée dans les éléments spéciaux en 2019.(3)
Parallèlement, l’entreprise a poursuivi le renforcement de son équipe de direction avec la nomination, en octobre, de Sam Abdelmalek au poste de chef de la direction de la transformation et de la chaîne d’approvisionnement. Bombardier a aussi annoncé aujourd’hui que Danny Di Perna a été nommé président, Bombardier Aérostructures et Services d’ingénierie (BASI) et Michael Ryan assumera les fonctions de chef de l’exploitation de BASI. Ensemble, ils axeront leurs efforts sur l’accélération de la productivité, l’atteinte de performances financière et opérationnelle de calibre international et la concrétisation du potentiel de croissance de l’entreprise.
Présentation de prévisions pour 2019
À la suite des nombreuses annonces d’aujourd’hui touchant le portefeuille, Bombardier présente des prévisions pour l’exercice 2019. L’entreprise vise, pour 2019, une augmentation d’environ 10 % de ses revenus pour atteindre ou dépasser 18 milliards $, en raison de l’accélération des livraisons d’avions d’affaires Global 7500. Elle vise à améliorer plus rapidement sa rentabilité, avec une hausse prévue d’environ 20 % du RAII avant éléments spéciaux, pour se situer entre 1,15 milliard $ et 1,25 milliard $, et une hausse prévue d’environ 30 % du RAIIA avant éléments spéciaux(2), pour se situer entre 1,65 milliard $ et 1,8 milliard $.
Bombardier vise à générer des flux de trésorerie disponibles se situant dans une fourchette de 250 millions $ à 500 millions $, qui devraient être contrebalancés par la charge de restructuration sus-mentionnée de 250 millions $ ainsi que par une réserve de fonds de roulement de 250 millions $ requise pour faire face aux fluctuations prévues alors que l’entreprise progresse dans la phase intense de croissance d’Avions d’affaires et de Transport. Par conséquent, il est prévu que les flux de trésorerie disponibles demeurent neutres pour 2019, plus ou moins 250 millions $.
Bombardier confirme aussi ses objectifs financiers pour 2020, même après la cession du programme d’avions Q Series et des activités de formation au pilotage et à la maintenance d’Avions d’affaires. Plus d’information sur la performance financière et la croissance de l’entreprise sera fournie à la Journée des investisseurs de Bombardier qui se déroulera le jeudi 6 décembre 2018.
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS SECTORIELS
Avions d’affaires
- La performance au troisième trimestre d’Avions d’affaires témoigne d’une solide exécution en matière de livraisons et de ventes, d’une croissance continue des revenus tirés des services après-vente et de la certification de l’avion Global 7500, le biréacteur d’affaires le plus grand et à la plus grande autonomie de l’industrie.
- L’avion Global 7500 a obtenu la certification de type de Transports Canada le 27 septembre 2018 puis lacertification de type de la FAA, traçant la voie à sa mise en service en décembre 2018.
- Au troisième trimestre, le montant total de nouvelles commandes nettes a été élevé, portant la valeur du carnet de commandes à 14,3 milliards $. L’intérêt suscité par la gamme d’avions Global, notamment par les nouveaux avions Global 5500 et Global 6500, continue de croître.(4)
- Les revenus du trimestre, tirés de la livraison de 31 avions, incluant une solide combinaison d’avions intermédiaires, se sont établis à 1,1 milliard $. Avec 96 avions livrés depuis le début de l’exercice, ce qui correspond à plus de 70 % du nombre de livraisons prévu pour l’exercice, nous sommes donc en bonne voie d’atteindre nos prévisions en matière de livraisons et de revenus pour l’exercice complet.
- La marge RAII avant éléments spéciaux du trimestre est demeurée supérieure à 8 %, sous l’impulsion des fluctuations saisonnières dans la composition des ventes d’avions, tandis que depuis le début de l’exercice, elle a atteint 8,5 %.
- Après la fin du trimestre, en date du 15 octobre 2018, le programme d’avions Global 5500 et Global 6500 avait cumulé 70 % des heures de vol nécessaires à l’obtention de la certification des avions, la mise en service des avions, prévue pour la fin de 2019, est en bonne voie de se réaliser.
- Le 3 octobre 2018, nous avons annoncé la poursuite de l’expansion de notre réseau de service avec un nouveau centre à Miami. Le nouveau centre d’une superficie de 300 000 pi. ca., dont l’inauguration est prévue en 2020, bénéficiera à notre clientèle aux États-Unis et en Amérique latine et continuera à stimuler notre croissance.
- Le 7 novembre 2018, la Société a conclu une entente définitive visant la vente de ses activités de formation des pilotes et des techniciens de Bombardier Avions d’affaires, menées principalement dans les centres de formation de Montréal, au Québec et de Dallas, au Texas, à CAE, un partenaire de longue date de Bombardier en matière de formation. Grâce à cette transaction, les clients de Bombardier Avions d’affaires bénéficieront de l’expertise de CAE en matière de formation, tandis que Bombardier se concentra sur le développement d’avions et les services. Parallèlement à la vente, Bombardier et CAE ont conclu une entente visant l’élargissement de leur relation de fournisseurs de services de formation autorisés selon laquelle CAE procédera au versement anticipé de toutes les redevances en vertu de l’entente. La valeur combinée de ces transactions totalise 800 millions $, incluant 645 millions $ tirés de la vente des activités de formation. Déduction faite des frais, des passifs et des ajustements de clôture habituels, nous prévoyons que le produit net s’établira à environ 650 millions $. La clôture de cette transaction devrait avoir lieu d’ici le second semestre de 2019, sous réserve du respect des conditions de clôture habituelles et de l’obtention des approbations des organismes de réglementation.
Avions commerciaux
- À compter du 1er juillet 2018, après la clôture du partenariat C Series formé d’Airbus (50,01 %), de Bombardier (33,55 %) et d’Investissement Québec (16,44 %), Avions commerciaux a retiré SCACS du périmètre de consolidation de ses résultats et l’a remplacée par sa quote-part de la perte nette de SCACS. Par conséquent, durant le trimestre, les revenus ont diminué de 259 millions $ principalement en raison du retrait de SCACS du périmètre de consolidation.
- Le RAII pour le trimestre a été proche du seuil de rentabilité, une amélioration importante étant donné le retrait de SCACS du périmètre de consolidation et la comptabilisation de notre quote-part de la perte nette de SCACS résultant en une quote-part du résultat net de 13 millions $. De plus, Bombardier a investi 85 millions $ dans SCACS au cours du trimestre en échange de parts sans droit de vote du partenariat sur son engagement maximal de 225 millions $ d’ici la fin de l’exercice.
- Au cours du trimestre, un total de cinq avions CRJ Series et avions Q400 ont été livrés, alors que le nombre de commandes nettes visait 11 avions.
- Le 7 novembre 2018, la Société a conclu une entente définitive visant la vente du programme d’avions Q Series, y compris les activités de services après-vente et les actifs, à Longview Aircraft Company of Canada Limited, une filiale en propriété exclusive de Longview Aviation Capital Corp., pour un produit brut d’environ 300 millions $. L’entente couvre l’ensemble des actifs et de la propriété intellectuelle et les certifications de type associées aux Dash 8 Series 100, 200 et 300 ainsi que les activités du programme d’avion Q400 à l’installation de fabrication de Downsview, en Ontario, au Canada. La clôture de cette transaction devrait avoir lieu d’ici le second semestre de 2019, sous réserve du respect des conditions de clôture habituelles et de l’obtention des approbations des organismes de réglementation. Le produit net de cette transaction devrait s’élever à environ 250 millions $, déduction faite des frais, des passifs et des ajustements de clôture habituels.
- Par suite de la clôture du partenariat avec Airbus visant le programme d’avions C Series plus tôt cette année et de l’entente visant la vente du programme d’avion Q400 annoncée le 7 novembre 2018, nous nous tournons résolument vers le programme CRJ. Alors que nous continuons d’être activement présents sur le marché des avions régionaux grâce à la renommée de nos avions qui respectent la clause de portée, nous nous concentrons sur la réduction des coûts et l’accroissement des volumes, tout en optimisant le service après-vente pour les quelques 1 500 CRJ actuellement en service dans le monde. Comme nous visons le retour à la rentabilité du programme CRJ, nous évaluons également les options stratégiques qui s’offrent pour ce programme.
Aérostructures et Services d’ingénierie
- Les revenus ont augmenté de 23 % par rapport à ceux du trimestre correspondant de l’exercice précédent, en raison de la position d’Aérostructures et Services d’ingénierie à titre d’un des principaux fournisseurs des programmes d’avions en croissance A220 et Global 7500.
- L’augmentation de 33 % du RAII avant éléments spéciaux par rapport à celui du trimestre correspondant de l’exercice précédent douze mois a été soutenue par la croissance des revenus. La marge RAII avant éléments spéciaux de 8,4 % pour le trimestre reflète l’accélération continue de la production des composants des avions A220 et Global 7500 ainsi que la nouvelle relation contractuelle avec Airbus en ce qui concerne les avions A220.
- Les revenus intersectoriels pour le trimestre ont représenté 62 % des revenus totaux par rapport à 80 % pour le premier semestre. Cette baisse reflète le fait que les revenus tirés de SCACS sont inclus dans les revenus externes depuis le 1er juillet 2018.
- Le 8 novembre 2018, Danny Di Perna a été nommé président d’Aérostructures et Services d’ingénierie. M. Di Perna cumule plus de 30 ans d’expérience aéronautique et industrielle et sa feuille de route prouve sa capacité d’améliorer l’efficacité opérationnelle. Michael Ryan occupera le poste de chef de l’exploitation.
Transport
- Les revenus ont totalisé 2,1 milliards $ au troisième trimestre, présentant une croissance interne de 2 % contrebalancée par une incidence défavorable des taux de change. En raison de l’accélération soutenue des principaux projets engagés en 2017, la croissance se poursuit dans tous les segments, ce qui nous met en bonne voie de réaliser la prévision de revenus d’environ 9,0 milliards $ pour l’exercice complet.
- Le RAII avant éléments spéciaux du trimestre correspondait à celui de la période correspondante de l’exercice précédent et atteignait 187 millions $. La marge pour le trimestre s’établissait à 8,7 %, ou 8,6 % depuis le début de l’exercice, continuant à tendre vers la prévision d’une marge supérieure à 8,5 % pour l’exercice.
- Alors que les livraisons de trains s’accélèrent par suite des investissements considérables dans le fonds de roulement depuis le milieu de 2017, le fonds de roulement à la fin du troisième trimestre était plus important que prévu.
- Le carnet de commandes de 33,9 milliards $ à la fin du trimestre résulte du ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,0 depuis le début de l’exercice, déduction faite de l’incidence défavorable des taux de change.
À propos de Bombardier
Avec plus de 69 500 employés répartis entre quatre secteurs d’activité, Bombardier est un leader mondial de l’industrie du transport, créant des avions et des trains novateurs qui changent la donne sur leur marché. Nos produits et nos services offrent des expériences de transport de calibre international qui établissent de nouvelles normes en matière de confort des passagers, d’efficacité énergétique, de fiabilité et de sécurité.
Avec son siège social situé à Montréal, au Canada, Bombardier a des installations de production et d’ingénierie dans 28 pays, couvrant les secteurs Transport, Avions d’affaires, Avions commerciaux et Aérostructures et Services d’ingénierie. Les actions de Bombardier se négocient à la Bourse de Toronto (BBD). Pour l’exercice clos le 31 décembre 2017, nos revenus ont été de 16,2 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l’adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.
Bombardier, CRJ,CRJ Series, CS100,CS300, C Series, Global, Global 5500, Global 6500, Global 7500, Global 8000, Q400 et Q Series sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.
Pour plus d'informations
Simon Letendre Gestionnaire, Relations avec les médias et affaires publiques Bombardier Inc. +514 861 9481 | Patrick Ghoche Vice-président, Relations avec les investisseurs Bombardier Inc. +514 861 5727 |
Le rapport de gestion et les états financiers intérimaires consolidés sont disponibles à l’adresse ri.bombardier.com.
ins : information non significative
pdb : point de base
- RAII et résultat désignent le RAII avant éléments spéciaux. Mesures financières non conformes aux PCGR.Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin du présent communiqué de presse.
- Mesures financières non conformes aux PCGR. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin du présent communiqué de presse.
- Se reporter à la mise en garde liée aux énoncés prospectifs.
- En cours de développement. Se reporter à la mise en garde relative au programme d’avions Global 5500, Global 6500, Global 7500 et Global 8000 à la fin du présent communiqué de presse.
- Marge désigne la marge RAII avant éléments spéciaux. Mesure financière non conformes aux PCGR.Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin du présent communiqué de presse.
- En raison de l’adoption de l’IFRS 15, Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients. Se reporter à la rubrique Nouveautés en comptabilité et en présentation de l’information financière de la section Autres du rapport de gestion de la Société du troisième rapport trimestriel pour le trimestre clos le 30 septembre 2018 pour des détails sur le retraitement des chiffres de la période comparative.
- Définies comme Trésorerie et équivalents de trésorerie plus le montant disponible en vertu des facilités de crédit renouvelables.
- La trésorerie et les équivalents de trésorerie au 31 décembre 2017 comprennent la trésorerie reclassée à titre d’actif détenu en vue de la vente. Se reporter à la rubrique Partenariat stratégique de la section Avions commerciaux ainsi qu’à la Note 11 – Trésorerie et équivalents de trésorerie et à la Note 19 – Actifs détenus en vue de la vente des états financiers consolidés de la Sociéé pour plus de détails sur la transaction et le traitement comptable.
- À l’exclusion de commandes fermes visant 115 avions CS100 et 233 avions CS300 pour la période correspondante de 2017. Après la clôture du partenariat C Series, Airbus a renommé les avions CS100 et CS300 respectivement A220-100 et A220-300.
- Après la fin du trimestre considéré, la Société a annulé deux commandes totalisant 8 avions Q400.
- Compte tenu de l’incidence de la quote-part des résultats tirés de participations dans des coentreprises et des entreprises associées totalisant 22 millions $ pour le trimestre clos le 30 septembre 2018 (52 millions $ pour le trimestre clos le 30 septembre 2017).
MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures non définies par les PCGR découlent directement des états financiers consolidés mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres entreprises utilisant ces termes peuvent les définir différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de notre rapport financier une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement de la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections de chaque secteur d’activité du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.
Rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS (PDF)
MISE EN GARDE LIÉE AUX ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions à propos de divers indicateurs financiers et sources d’apport connexes, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, notre position sur le marché, nos capacités, notre position en regard de la concurrence, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos anticipations, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités; la robustesse de notre structure du capital et de notre bilan, notre solvabilité, nos liquidités et sources de financement disponibles, nos besoins financiers prévus et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; la mise en place d’améliorations visant la productivité et d’initiatives de restructuration et les coûts prévus s’y rattacher, les avantages recherchés et le moment de leur matérialisation; l’expansion continue prévue des activités de services après-vente pour les avions; les objectifs et les cibles financières sous-jacents à notre plan de transformation ainsi que son calendrier de réalisation et les progrès de sa mise en œuvre, notamment la transition de l’entreprise vers la génération de liquidités; les attentes et le calendrier concernant le rachat en temps opportun de l’investissement de la Caisse dans BT Holdco; les intentions à l’égard du programme CRJ; le financement et les liquidités de la Société en commandite Avions C Series (SCACS); l’incidence et les avantages escomptés de la transaction avec Airbus sur nos activités, notre infrastructure, nos capacités, notre développement, notre croissance et autres occasions et perspectives, notre présence et notre dimension géographiques, la valeur de nos actifs et de nos programmes, notre empreinte, notre situation financière, notre accès à des capitaux et notre stratégie générale; et l’incidence de cette transaction sur notre bilan et notre situation financière. En ce qui concerne les actions stratégiques et la vente proposée du programme d’avions Q Series et des activités de formation des pilotes et des techniciens d’Avions d’affaires dont il est question dans les présentes, le présent communiqué de presse comporte également des énoncés prospectifs ayant trait aux conditions et modalités prévues et à l’échéancier de réalisation connexe; au produit prévu en découler et à l’utilisation de celui-ci, aux coûts et charges connexes ainsi qu’aux avantages que l’on prévoit en retirer; et au fait que la clôture de ces transactions sera conditionnelle à la concrétisation de certains événements, y compris l’obtention des approbations nécessaires des organismes de réglementation.
Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable lorsqu’il est question de Bombardier et de SCACS. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le but d’assister les investisseurs et autres dans la compréhension de certains éléments clés de nos objectifs, priorités stratégiques, attentes et plans actuels, ainsi que pour leur permettre d’avoir une meilleure compréhension de nos activités et de l’environnement dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est prévenu que de telles informations pourraient ne pas convenir à d’autres fins.
De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus décrits dans les énoncés prospectifs. Bien que la direction juge ces hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse relativement à la transaction avec Airbus comprennent les hypothèses importantes suivantes : l’exactitude de nos analyses et de notre bilan de rentabilité, y compris les estimations de flux de trésorerie et de revenus sur la durée de vie prévue du programme et par la suite; l’amélioration graduelle du prix des avions, des coûts unitaires et des livraisons au cours de la phase d’accélération; les hypothèses à l’égard de la solidité et de la qualité de la portée, de la présence, des ventes, de la commercialisation et des réseaux de soutien d’Airbus, de sa chaîne d’approvisionnement et de son expertise opérationnelle ainsi que de ses relations avec les clients; le respect et l’exécution par chacune des parties de ses obligations aux termes de l’accord relatif à la transaction et aux accords commerciaux futurs et l’absence d’inefficacités importantes ou d’autres problèmes connexes; la réalisation des avantages et des synergies prévues de la transaction selon l’échéancier prévu; notre capacité à maintenir notre plan de financement de SCACS et à assurer le financement, le cas échéant, des besoins en trésorerie; le caractère adéquat de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement du projet; et l’exactitude de notre évaluation des facteurs de croissance prévus et des tendances sectorielles. Les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs présentés dans le présent communiqué de presse à l’égard des actions stratégiques et de la vente proposée du programme d’avions Q Series et des activités de formation des pilotes et des techniciens d’Avions d’affaires dont il est question dans les présentes comportent les hypothèses significatives suivantes : le respect de toutes les conditions de clôture et la réalisation de ces actions stratégiques et transactions selon l’échéancier prévu, y compris l’obtention des approbations des organismes de réglementation. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse, notamment en ce qui a trait aux prévisions pour 2018, voir les rubriques Priorités stratégiques et Prévisions et énoncés prospectifs de la section Sommaire et de chaque secteur isolable présenté dans notre rapport financier pour l’exercice clos le 31 décembre 2017. Pour de plus amples renseignements sur les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs portant sur les prévisions pour 2019, se reporter aux hypothèses quant aux prévisions pour 2019 figurant dans le présent communiqué de presse.
En ce qui a trait spécifiquement à la transaction avec Airbus, certains facteurs, qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux prévus dans les énoncés prospectifs, comprennent ce qui suit, sans s’y limiter : la fiabilité de nos analyses et de notre bilan de rentabilité, y compris les estimations de flux de trésorerie et de revenus sur la durée de vie prévue du programme et par la suite; tout événement, tout changement ou toute autre circonstance nouvelle pouvant avoir une incidence défavorable sur la portée, la présence, les ventes, la commercialisation ou les réseaux de soutien d’Airbus, sa chaîne d’approvisionnement, ses activités ou ses relations avec les clients; le défaut de l’une des parties de respecter et d’exécuter ses obligations aux termes de l’accord relatif à la transaction et aux accords commerciaux futurs et/ou des inefficacités importantes ou d’autres problèmes connexes; la non-réalisation des avantages ou des synergies prévus de la transaction ou le fait qu’ils ne soient pas réalisés selon l’échéancier prévu; les risques associés à notre capacité à maintenir notre plan de financement actuel de SCACS et à assurer le financement, le cas échéant, des besoins en trésorerie; le caractère inadéquat de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement du projet; et la fiabilité de notre évaluation des facteurs de croissance et des tendances sectorielles anticipés. Parmi les autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés au Brexit, à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail; à la politique commerciale, à l’accroissement de la concurrence; à l’instabilité politique et à des cas de force majeure ou catastrophes naturelles), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services; au développement de nouvelles activités; à la certification et à l’homologation de produits et services; aux engagements à prix et à terme fixes et à la production et à l’exécution de projets; aux pressions sur les flux de trésorerie et sur les dépenses en immobilisations exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier; à notre capacité de mettre en œuvre et de réaliser avec succès notre stratégie, notre plan de transformation, nos améliorations visant la productivité et nos initiatives de restructuration; aux partenaires commerciaux; aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits; aux procédures réglementaires et judiciaires; aux risques liés à l’environnement et à la santé et sécurité; à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs; aux ressources humaines; à la fiabilité des systèmes informatiques; à la fiabilité des droits relatifs à la propriété intellectuelle; et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers; aux régimes d’avantages de retraite; à l’exposition au risque de crédit; aux obligations importantes au titre des paiements de la dette et des intérêts; à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt; et à certains seuils minimums de liquidités; à l’aide au financement en faveur de certains clients; et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt; à la diminution de la valeur résiduelle; à l’augmentation des prix des produits de base; et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion de notre rapport financier pour l’exercice clos le 31 décembre 2017. En ce qui concerne spécifiquement les actions stratégiques et la vente proposée du programme d’avions Q Series et des activités de formation des pilotes et des techniciens d’Avions d’affaires dont il est question dans les présentes, certains facteurs, qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux prévus dans les énoncés prospectifs, comprennent ce qui suit, sans s’y limiter : la non-réception des approbations des organismes de réglementation ou d’autres approbations ou le retard dans la réception de celles-ci ou le non-respect des conditions rattachées à la réalisation de pareilles actions stratégiques et transactions ou le retard dans le respect de celles-ci et l’incertitude concernant le temps requis pour mener à bien pareilles actions stratégiques et transactions, et le fait que Bombardier n’ait pas accès aux fonds ou avantages connexes selon l’échéancier prévu ou pas du tout; le fait que d’autres sources de financement qui pourraient remplacer le produit prévu et les économies découlant de pareilles actions stratégiques et transactions, selon le cas, pourraient ne pas être accessibles lorsqu’elles s’avèrent nécessaires ou ne pas l’être selon des modalités avantageuses. Par conséquent, rien ne garantit que les actions stratégiques proposées ou que la vente proposée du programme d’avions Q Series et des activités de formation des pilotes et des techniciens d’Avions d’affaires se réaliseront ni que les avantages prévus se réaliseront en totalité ou en partie, voire qu’ils se réaliseront tout court. En outre, rien ne garantit que les avantages que l’on prévoit tirer des améliorations visant la productivité et des initiatives de restructuration dont il est question dans les présentes se réaliseront en totalité ou en partie, voire qu’ils se réaliseront tout court ou que le rachat de BT Holdco sera réalisé, ou la forme et l’échéancier selon lesquels il le serait.
Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. D’autres risques et incertitudes que nous ne connaissons pas ou que nous considérons comme non importants à l’heure actuelle pourraient également faire en sorte que les résultats ou les événements réels diffèrent considérablement de ceux exprimés explicitement ou implicitement dans ces énoncés prospectifs. En outre, rien ne garantit que les avantages stratégiques prévus et les synergies attendues de la transaction avec Airbus sur le plan de l’exploitation, de la concurrence et des coûts seront réalisés en totalité ou en partie, voire qu’ils se réaliseront. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de la direction à la date du présent communiqué de presse et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.
Les avions Global 5500, Global 6500, Global 7500 et Global 8000 sont présentement à la phase de développement et sont susceptibles de changements, notamment en ce qui a trait à la stratégie de gamme, à la marque, à la capacité, aux performances, à la conception et aux systèmes de circuits. Toutes les spécifications et les données sont approximatives, peuvent changer sans préavis et sont assujetties à certaines règles d’exploitation, hypothèses et autres conditions. Le présent communiqué de presse ne constitue ni une offre, ni un engagement, ni une déclaration, ni une garantie d’aucune sorte.