28 avril 2016
Résultats financiers
Bombardier annonce une importante commande d'avions C Series et présente ses résultats financiers du premier trimestre de 2016
- Delta commande jusqu'à 125 avions C Series - la plus importante commande d'avions C Series à ce jour
- Revenus de 3,9 milliards $; carnet de commandes de 58,9 milliards $
- RAII de 56 millions $; RAII avant éléments spéciaux(1) de 130 millions $
- Comptabilisation d'une charge spéciale de 112 millions $ pour l'optimisation des effectifs
- Utilisation des flux de trésorerie disponibles de 750 millions $ attribuable aux sorties de trésorerie liées aux activités opérationnelles de 456 millions $
- Solides liquidités pro forma de 5,4 milliards $(2)
- Voir la mise en garde relative aux rubriques Mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.
- Les liquidités pro forma reflètent les révisions des facilités de crédit renouvelables en vigueur en avril 2016 et le produit brut prévu de l'investissement du gouvernement du Québec dans le programme d'avions C Series.
(Tous les montants de ce communiqué de presse sont exprimés en dollars américains, sauf indication contraire. Les montants des tableaux sont en millions, sauf les montants par action, sauf indication contraire. Le RAII est défini comme étant le résultat avant charges de financement, revenus de financement et impôts sur le résultat. Le RPA est défini comme étant le résultat par action attribuable aux détenteurs d'instruments de capitaux propres de Bombardier Inc. Ce communiqué de presse contient à la fois des mesures conformes aux IFRS et des mesures non conformes aux PCGR. Les mesures non conformes aux PCGR sont définies et leur rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS est présenté dans le rapport de gestion de la Société. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.)
Bombardier (TSX:BBD.B) a présenté aujourd'hui ses résultats financiers du premier trimestre clos le 31 mars 2016.
« Notre plan de redressement donne des résultats. Nous avons tenu nos engagements pour le premier trimestre, et nous demeurons en bonne voie de réaliser nos prévisions pour 2016 et d'atteindre nos objectifs de 2020. Les actions déterminantes que nous avons menées pour améliorer l’exploitation et le modèle d’affaires de toutes nos activités commencent à porter leurs fruits », a déclaré Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc.
Bombardier a aussi annoncé aujourd'hui que Delta Air Lines, Inc. (Delta), établie à Atlanta, a signé une commande ferme visant 75 avions CS100, assortie d'options pour 50 avions CS100 supplémentaires. Selon le prix affiché, la commande ferme est évaluée à environ 5,6 milliards $. Il est prévu que les livraisons à Delta des avions de pointe commencent en 2018. À la suite de cette commande, le programme devrait être démarré garni d'un carnet de commandes visant plus de 300 avions, et pouvant atteindre jusqu’à 800 avions au total si l'on tient compte de toutes les options et autres ententes.(1)
« Nous sommes très fiers d’accueillir Delta comme client C Series et d’élargir notre partenariat avec un transporteur aérien aussi prestigieux. Compte tenu de la position de Delta parmi les transporteurs aériens les plus grands et les plus respectés au monde, cette entente est un appui sans équivoque aux avions C Series en tant qu’avions les plus performants du segment d'appareils de 100 à 150 sièges. L’ajout de Delta à notre liste de clients de marque C Series nous donne un élan formidable, alors que nous approchons de l’entrée en service cet été », a conclu M. Bellemare.
- Les autres ententes sont composées des commandes conditionnelles, des lettres d'intention, des options et des droits d'achat.
RÉSULTATS SECTORIELS ET FAITS SAILLANTS
Avions d'affaires
- La performance reliée aux revenus et aux livraisons correspondait aux prévisions pour le premier trimestre de 2016, reflétant la décision proactive de réduire les cadences de production.
- Les solides activités de vente au cours du trimestre ont généré des commandes nettes de 40 avions pour un ratio de nouvelles commandes sur livraisons de 1,3. Ces commandes incluent une commande ferme pour 20 avionsChallenger 350 d'un client préférant garder l'anonymat, évaluée à 534 millions $ selon le prix affiché.
- La marge RAII avant éléments spéciaux a été essentiellement préservée par rapport à celle du trimestre correspondant de l'exercice précédent, malgré la baisse des volumes, reflétant l'incidence positive de l'amélioration du modèle d'affaires et des activités de transformation de Bombardier. Les éléments spéciaux sont reliés à des charges de restructuration et ont baissé de 6 millions $ comparativement à ceux du trimestre correspondant de l'exercice précédent.
- En mars 2016, l'avion Challenger 650 a obtenu la pleine homologation de type de l'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA). L'avion a reçu la certification de type de Transports Canada et de la Federal Aviation Administration en novembre 2015 et est entré en service au quatrième trimestre de 2015.
Avions commerciaux
- La cadence de production du programme d'avions C Series s'accélère, diluant la marge RAII, comme prévu.
- Au cours du premier trimestre de 2016, l'utilisation des flux de trésorerie disponibles liée au programme d'avionsC Series s'est élevée à environ 200 millions $ et demeure conforme à notre objectif de 1 milliard $ au titre de l'utilisation des flux de trésorerie disponibles pour le programme en 2016.
- Les ententes importantes signées récemment ont renforcé la position du programme d'avions C Series dans le segment de marché des appareils de 100 à 150 sièges.
- Après le trimestre, en avril 2016, Bombardier a signé une commande ferme avec Delta visant 75 avionsCS100, assortie d'options visant 50 avions CS100 supplémentaires. Selon le prix affiché, la commande ferme est évaluée à 5,6 milliards $.
- En février 2016, la Société a signé une lettre d'intention avec Air Canada, et Bombardier s'attend à signer au deuxième trimestre une entente d'achat ferme visant 45 avions CS300, assortie d'options pour 30 avionsCS300 supplémentaires, y compris des droits de conversion en avions CS100. Selon le prix affiché, la commande ferme est évaluée à 3,8 milliards $.
- Après le premier trimestre, Air Baltic Corporation AS a converti ses sept options restantes en commandes fermes d'avions CS300. Selon le prix affiché, la commande ferme est évaluée à 506 millions $.
- Selon les prix affichés, la valeur de ces 127 commandes fermes prévues s'élève à 9,9 milliards $. Ces commandes viennent renforcer la confiance que Bombardier a en son plan quinquennal du programme C Series. Parallèlement à la clôture de ces ententes d'achat fermes, Bombardier comptabilisera une provision pour contrats déficitaires d'environ 500 millions $ comme élément spécial au deuxième trimestre de 2016. Par suite de ces commandes, le programme devrait démarrer garni d'un carnet de commandes fermes visant plus de 300 avions et pouvant atteindre jusqu'à 800 avions au total si l'on tient compte de toutes les options et autres ententes.(1) La Société demeure conforme à son objectif d'investir 2,0 milliards $ et d'atteindre des flux de trésorerie disponibles neutres pour le programme d'ici 2020.
- Bombardier continue de se préparer en vue de la mise en service de l'avion CS100, dont la livraison du premier avion à Swiss International Air Lines est prévue en juin 2016.
- Après la fin du premier trimestre, Chorus Aviation Inc. a signé une entente d'achat ferme visant cinq avions CRJ900. La commande comprend aussi des droits d'achat visant cinq avions CRJ900 supplémentaires. Selon le prix affiché de l'avion CRJ900, la commande ferme est évaluée à 229 millions $.
- Les autres ententes sont composées des commandes conditionnelles, des lettres d'intention, des options et des droits d'achat.
Aérostructures et Services d'ingénierie
- Le niveau des activités intersectorielles augmente, l'accélération de la cadence vers la production à plein régime du programme d'avions C Series ayant commencé. Aérostructures et Services d'ingénierie fabrique les postes de pilotage et les ailes entièrement en composites destinés aux avions CS100 et CS300.
Transport
- La marge RAII avant éléments spéciaux a été portée à 6,1 % au premier trimestre. D'un point de vue opérationnel, les améliorations soutenues de la gestion du fonds de roulement ont une incidence positive sur la génération des flux de trésorerie disponibles, et retardent la comptabilisation de certains coûts et, par conséquent, la comptabilisation des revenus d'après la comptabilisation des contrats à long terme. Les éléments spéciaux représentent des charges de restructuration de 87 millions $ liées à l'optimisation des effectifs annoncée en février 2016 et à une perte de change de 5 millions $ liée à la réorganisation de Transport sous une seule société de portefeuille nécessaire pour faciliter le placement d'une participation minoritaire dans Transport.
- La Société a conclu la vente à la Caisse de dépôt et de placement du Québec d'une participation de 30 % dans Bombardier Transportation (Investment) UK LTD (BT Holdco), en contrepartie d'un investissement de 1,5 milliard $ sous forme d'actions convertibles, qui à la suite d'une restructuration de l'entreprise détient pratiquement tous les actifs et les passifs du secteur d'activité Bombardier Transport. BT Holdco continuera d'être contrôlée par Bombardier Inc. et ses résultats continueront d'etre présentés dans nos résultats.
- Le 12 février 2016, comme membre du consortium TransEd Partners, Bombardier a signé un contrat pour fournir le système de transport léger sur rail Valley Line à Edmonton, au Canada. La participation de la Société est évaluée à 280 millions $.
Rapprochement des résultats sectoriels et des résultats consolidés (PDF)
À propos de Bombardier
Bombardier est le leader mondial de la fabrication d’avions et de trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.
Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto, et nous sommes l’une des entreprises composant l'indice de durabilité Dow Jones Sustainability North America. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2015, nos revenus ont été de 18,2 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter @Bombardier.
Bombardier, Challenger, Challenger 350, Challenger 650, CRJ, CRJ900, CS100, CS300, C Series et L'évolution de la mobilité sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.
Pour plus d'informations
Isabelle Rondeau Directrice, Communications Bombardier Inc. +514 861 9481 | Patrick Ghoche Vice-président, Relations avec les investisseurs Bombardier Inc. +514 861 5727 |
Le rapport de gestion et les états financiers intérimaires consolidés sont disponibles à l'adresse ri.bombardier.com.
ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur les objectifs, prévisions, cibles, buts, priorités, marchés et stratégies de la Société, sa situation financière, ses croyances, ses perspectives, ses plans, ses attentes, ses anticipations, ses estimations et ses intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; la position de la Société en regard de la concurrence; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur l'entreprise et ses activités; les liquidités disponibles et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; la réalisation de l’investissement par le gouvernement du Québec dans le programme d’avions C Series (l’investissement dans le programme C Series) et l’utilisation du produit qui en découle; l’incidence de l’investissement dans le programme C Series et du placement privé visant une participation minoritaire de la Caisse dans Transport (l’investissement de la Caisse et, avec l’investissement dans le programme C Series, les investissements) sur la gamme des possibilités qui s’offrent à la Société, y compris la participation de la Société à une future consolidation dans le secteur; la structure du capital et de gouvernance du secteur Transport après l’investissement de la Caisse, et du secteur Avions commerciaux après l’investissement dans le programme C Series; l’incidence et les avantages escomptés des investissements sur les activités, l'infrastructure, les occasions, la situation financière, l'accès à des capitaux et la stratégie générale de l'entreprise; et l’incidence de la vente d’une participation sur le bilan et la situation financière de l'entreprise. La mise en œuvre du regroupement d’actions est assujettie à de nombreuses conditions, y compris, sans s’y limiter, l’approbation de la Bourse de Toronto et celle des actionnaires, et, sous réserve du pouvoir du conseil d’administration, indépendamment de l’approbation du regroupement d’actions par les actionnaires, de déterminer à sa discrétion de ne pas réaliser le regroupement d’actions, sans autre approbation ou action des actionnaires ou préavis donné à ces derniers. Rien ne garantit que le regroupement d’actions sera mis en œuvre comme proposé, s’il l’est, ou que le regroupement d’actions se traduira par le prix de l’action initial postregroupement envisagé pour les actions classe A ou les actions classe B à droits de vote limités.
Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que les résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que la direction juge ses hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes.
Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, au contexte commercial de la Société (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail; à la politique commerciale; à l’accroissement de la concurrence; à l’instabilité politique et à des cas de force majeure), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services; au développement de nouvelles activités; à la certification et à l’homologation de produits et services; aux engagements à modalités fixes et à la production et à l’exécution de projets; aux pressions sur les flux de trésorerie exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier; à la capacité de la Société de mettre en œuvre avec succès la stratégie et le plan de transformation de la Société; aux partenaires commerciaux; aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits; aux procédures réglementaires et judiciaires; à l’environnement; à la dépendance de la Société à l’égard de certains clients et fournisseurs; aux ressources humaines; à la fiabilité des systèmes informatiques; à la fiabilité des droits relatifs à la propriété intellectuelle; et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers; aux régimes d’avantages de retraite; à l’exposition au risque de crédit; aux obligations au titre des paiements de la dette et des intérêts; à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt; à l’aide du financement en faveur de certains clients; et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt; à la diminution de la valeur résiduelle; à l’augmentation des prix des produits de base; et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2015. Certaines hypothèses importantes formulées par la direction pour faire des énoncés prospectifs comprennent, sans s’y limiter : le fait que la vérification diligente en cours menée par le gouvernement du Québec ne mettra pas au jour des faits ou des circonstances défavorables importants; et le respect de toutes les conditions relatives à la réalisation de l’investissement dans le programme C Series, y compris l’obtention des approbations de tiers et des organismes de réglementation et d’autres approbations. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse, voir les rubriques Prévisions et énoncés prospectifs du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2015. Rien ne peut garantir que l’investissement dans le programme C Series sera entrepris ou réalisé en totalité ou en partie ou le moment, la taille et le produit d’une telle transaction, qui dépendra de plusieurs facteurs.
Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de la Société à la date du présent communiqué de presse et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.
MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures non définies par les PCGR découlent directement des états financiers consolidés intermédiaires, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les définir différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs du rapport financier intermédiaire de la Société une meilleure compréhension des résultats et tendances connexes de la Société, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de la Société. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement de la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections de chaque secteur d'activité du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.