02 novembre 2017
Résultats financiers
Bombardier annonce ses résultats du troisième trimestre de 2017
- Partenariat stratégique avec Airbus qui change la donne pour accélérer l'élan commercial du programme C Series
- Lettre d’intention d’un client européen visant jusqu’à 61 avions C Series, incluant 31 en commande ferme
- Poursuite de la croissance des marges(1) grâce à l’exécution du plan de transformation; confirmation de la prévision de marge RAII de tous les secteurs d’activité pour l’exercice complet(2)
- RAII avant éléments spéciaux(2) sur une base consolidée pour l’exercice complet d’au moins 630 M$ - dans la partie supérieure de la fourchette de prévision
- Incidence du retard de livraison des moteurs sur le programme C Series; 20-22 livraisons d’avions maintenant prévues pour l’exercice(2)
- Prévisions de revenus et d’utilisation des flux de trésorerie disponibles(2)(3) sur une base consolidée de respectivement environ 16,3 G$ et 1 G$ pour l’exercice complet
Bombardier (TSX: BBD.B) a annoncé aujourd’hui ses résultats du troisième trimestre de 2017 mettant en évidence des progrès soutenus transformant l’entreprise et construisant sa capacité de générer des bénéfices. L’entreprise prévoit maintenant un RAII avant éléments spéciaux sur une base consolidée pour l’exercice complet d’au moins 630 millions $, dans la partie supérieure de sa prévision précédente.
« Cela a été un trimestre très excitant pour Bombardier alors que nous avons accueilli Airbus dans le programme C Series, a déclaré Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc. Il s’agit d’une étape qui change la donne pour Bombardier. Elle place le programme C Series en bonne position pour un succès à long terme et générera de la valeur nouvelle et durable pour nos clients, nos fournisseurs et nos actionnaires.
« Nous continuons aussi à enregistrer de solides progrès dans l’exécution de notre plan de redressement et sommes en très bonne voie d’atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés en novembre 2015, a poursuivi M. Bellemare. Nous avons clairement démontré notre capacité de réduire nos coûts, d’améliorer notre productivité et d’accroître nos marges. Nous exécutons nos programmes en croissance et nous prenons les mesures stratégiques qui s'imposent pour valoriser pleinement notre portefeuille. »
Bombardier a affiché des revenus de 3,8 milliards $ pour le trimestre. Le RAII avant éléments spéciaux a progressé pour s’établir à 165 millions $, soit presque le double de celui du troisième trimestre de 2016. Les marges RAII avant éléments spéciaux ont été de 8,5 % chez Transport; de 8,8 % chez Avions d’affaires; et de 9,3 % chez Aérostructures. Avions commerciaux a enregistré un RAII avant éléments spéciaux reflétant l’accélération des cadences de production des avions C Series. L’utilisation de flux de trésorerie disponibles a aussi été conforme à la prévisionde 495 millions $ pour le trimestre.
En même temps que ses résultats du troisième trimestre, Bombardier a annoncé qu’un client européen a signé une lettre d'intention visant jusqu’à 61 avions C Series, soit une commande ferme de 31 avions assortie d’options sur 30 avions additionnels. La lettre d’intention est conditionnelle à l’exécution d’une entente d’achat, qui est prévue d’ici la fin de l’exercice. D’après le prix affiché, une commande ferme serait évaluée à approximativement 2,4 milliards $. Ce montant pourrait passer à environ 4,8 milliards $ si les 30 options étaient exercées.
« Cette nouvelle importante commande confirme la croissance de la confiance qu’ont les clients dans le programme C Series, a déclaré M. Bellemare. À l’avenir, alors qu’Airbus rejoint le programme et que les avions C Series continuent de faire leurs preuves en service, nous nous attendons à ce que l'élan commercial se renforce rapidement. »
Les autres faits saillants de la performance de Bombardier au troisième trimestre incluent une croissance des revenus de 20 % sur ceux du trimestre correspondant de l’exercice précédent chez Transport, ainsi que des hausses de marge et de solides commandes. Avions d’affaires a aussi accru sa marge alors que le secteur d’activité continue d’améliorer sa productivité et son efficacité opérationnelle, démontrant sa capacité à réaliser de belles performances dans quelque environnement de marché que ce soit. L’avion Global 7000 a progressé vers sa certification intégrant aux essais en vol un quatrième véhicule d’essais au cours du trimestre. Ce nouvel avion à très long rayon d’action est en bonne voie d’être mis en service au second semestre de 2018.
Bombardier a aussi annoncé la nomination de Douglas R. Oberhelman à son conseil d’administration. M. Oberhelman a travaillé 41 ans chez Caterpillar Inc., où il a occupé divers postes de haute direction, notamment celui de président exécutif du conseil d’administration, un poste qu’il a occupé jusqu’à sa retraite en mars 2017. M. Oberhelman remplace Patrick Pichette qui a fait part de son intention de quitter le conseil d’administration de Bombardier pour des raisons personnelles. Le conseil d’administration a accepté la démission de M. Pichette et le remercie pour ses quatre années de service dévoué ainsi que pour sa perspicacité et son énergie dont l’entreprise a bénéficié pendant son mandat.
Bombardier a affiché des revenus consolidés de 3,8 milliards $ pour le trimestre et de 11,5 milliards $ pour la période de neuf mois, contre 3,7 milliards $ et 12,0 milliards $ pour les périodes correspondantes de l'exercice précédent, résultant principalement de la croissance soutenue de Transport et des ajustements de volumes correspondant à la demande du marché des secteurs d’activité aéronautiques annoncés antérieurement. Le RAII avant éléments spéciaux a été de respectivement 165 millions $ et 457 millions $ pour le trimestre et la période de neuf mois, soit une hausse de 90 % et 41 % sur celui des périodes correspondantes de l’exercice précédent. Cette hausse s’explique par l’importante amélioration soutenue des marges de Transport, Avions d'affaires et Aérostructures affichant tous une marge égale ou supérieure à 8,5 % ce trimestre. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles a été de 495 millions $ pour le trimestre et de 1,7 milliard $ pour la période de neuf mois en raison d’une hausse de la production chez Transport supérieure à celle des livraisons conjuguée avec une accélération de la cadence de production d’avions des programmes Global 7000 et C Series. La performance financière depuis le début de l’exercice confirme une prévision de RAII avant éléments spéciaux sur une base consolidée d’au moins 630 millions $ pour l’exercice complet, dans la partie supérieure de la fourchette présentée dans nos prévisions précédentes. Les prévisions de revenus et d’utilisation des flux de trésorerie disponibles sur une base consolidée pour l’exercice ont été révisées, s’établissant respectivement à environ 16,3 milliards $ et 1,0 milliard $, pour s’aligner sur environ 20 à 22 livraisons d’avions C Series en raison des retards de livraison de moteurs par Pratt & Whitney. Certains moteurs destinés initialement aux avions de série au quatrième trimestre serviront plutôt à répondre aux besoins en moteurs de rechange des clients C Series actuels.
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS SECTORIELS
Avions d’affaires
- Nous avons livré 31 avions au cours du trimestre. Depuis le début de l’exercice, nous avons livré 96 avions au total et sommes en bonne voie de réaliser notre prévision d’environ 135 livraisons d’avions pour l’exercice complet alors que nous amorçons le trimestre habituellement le plus solide de l’exercice.(2)
- Nous avons poursuivi la solide exécution de notre plan de transformation et de nos initiatives de contrôle des coûts, ce qui nous a permis d’afficher à nouveau une solide marge RAII avant éléments spéciaux, s’élevant à 8,8 % pour le trimestre et à 8,5 % depuis le début de l’exercice. Nous sommes en bonne voie de dégager des marges d’environ 8,0 % pour l’exercice complet.(2)
- L’avion Global 7000 est en bonne voie d’être mis en service au second semestre de 2018. Le quatrième véhicule d’essais en vol a effectué avec succès son vol inaugural le 28 septembre dernier et servira aux essais de validation de l’aménagement intérieur. Les quatre véhicules d’essais en vol ont cumulé jusqu’à présent plus de 900 heures de vol. L’avion continue d’afficher d’excellentes performances et de présenter un degré élevé de fiabilité. Les résultats ont révélé une maturité qui soutient pleinement les activités de certification planifiées. Les derniers préparatifs pour le premier vol du cinquième véhicule d’essais en vol sont en cours et plusieurs biréacteurs d’affaires Global 7000 sont en assemblage final.
- Fidèles à notre stratégie axée sur l’expansion de nos activités de service après-vente, nous avons agrandi notre centre de service à Tucson, en Arizona et avons inauguré des entrepôts de pièces à Miami, en Floride et à Tianjin, en Chine, en plus d’offrir de nouveaux services par voie d’abonnement, notamment les programmes Smart Services et Smart Training.
Avions commerciaux
- Le 16 octobre 2017, nous avons annoncé un partenariat avec Airbus SE (Airbus) dans le cadre du programme d’avions C Series, lequel devrait plus que doubler la valeur du programme. La présence et la dimension mondiale d’Airbus, conjuguées à la gamme de biréacteurs de toute dernière génération de Bombardier, devraient favoriser l’élan commercial du programme et réduire les coûts de production.(5) De plus, le partenariat prévoit assembler les avions C Series sur une deuxième chaîne d’assemblage final à Mobile, dans l’Alabama, afin d’offrir une solution optimisée aux clients de transporteurs aériens américains dans le segment de marché des avions monocouloirs de 100 à 150 sièges. L’opération reste assujettie à l’approbation des organismes de réglementation et devrait se conclure au second semestre de 2018.(5)
- Nous avons livré 16 avions, soit 4 avions CRJ Series, 7 avions Q400 et 5 avions C Series au cours du trimestre. Ayant livré 39 biréacteurs régionaux et biturbopropulseurs au total depuis le début de l’exercice, nous sommes en bonne voie d’atteindre 50 livraisons pour l’exercice.(2)
- Au cours du trimestre, nous avons reçu une commande de SpiceJet visant jusqu’à 50 biturbopropulseurs Q400. L’entente d’achat, la commande la plus importante de biturbopropulseurs à ce jour, comprend une commande ferme visant 25 biturbopropulseurs Q400, assortie de droits d’achat sur 25 avions supplémentaires. D’après le prix affiché, la valeur de la commande est évaluée à 1,7 milliard $. Cette commande lancera notre nouveau modèle d’avion haute densité de 90 sièges.
- Le récent retard de livraison de moteurs accusé par Pratt & Whitney aura une incidence sur le nombre de livraisons d’avions C Series pour l’exercice complet. De plus, certains moteurs destinés initialement aux avions de série au quatrième trimestre serviront plutôt à répondre aux besoins en moteurs de rechange des clients C Series actuels. Par conséquent, nous prévoyons livrer environ huit à dix avions C Series au quatrième trimestre et environ 20 à 22 avions au cours de l’exercice complet. Nous avons donc ajusté la prévision de revenus pour 2017 d’Avions commerciaux, qui s’établit désormais à environ 2,5 milliards $.(2) Nous avons signé une lettre d’intention en vertu de laquelle Pratt & Whitney a convenu d’aider à financer les stocks excédentaires découlant des retards de livraison des moteurs en nous consentant une avance de fournisseur à compter du quatrième trimestre. Cette avance ne sera pas comprise dans nos flux de trésorerie disponibles, mais elle permettra d’augmenter l’ensemble des liquidités et d’encaisse. La lettre d’intention est conditionnelle à l’exécution d’ententes définitives entre les parties, qui est prévue d’ici la fin de l’exercice.
- Le programme d’avions C Series continue de gagner en popularité sur le marché grâce à ses performances exceptionnelles :
- après la fin du troisième trimestre, nous avons signé une lettre d’intention avec un client européen visant jusqu’à 61 avions C Series, dont une commande ferme visant 31 avions et assortie d’options pour 30 avions supplémentaires. D’après le prix affiché des avions, la commande ferme serait évaluée à environ 2,4 milliards $. La lettre d’intention est conditionnelle à l’exécution d’une entente d’achat, qui est prévue d’ici la fin de l’exercice;
- l’avion C Series affiche d’excellentes performances, notamment une consommation de carburant jusqu’à 3 % inférieure à celle initiallement annoncée, ce qui ouvre de nouvelles perspectives et améliore les caractéristiques économiques de l’avion;
- un avion CS100 de Swiss International Air Lines (SWISS) a effectué en août son premier vol commercial à destination de l’aéroport London City, devenant le plus grand avion de transport de passagers certifié à être exploité de cet aéroport d’accès difficile, ce qui offre de nouvelles perspectives pour les transporteurs aériens et les voyageurs; et
- une deuxième déclaration environnementale de produit a été publiée pour les avions C Series, confirmant la performance environnementale inégalée de ces derniers. La publication de cette déclaration environnementale de produit pour l’avion CS300 de Bombardier survient un an après celle pour l’avion CS100.
- Nous avons publié nos prévisions du marché sur 20 ans pour les années civiles de 2017 à 2036. Nous sommes le seul fabricant à offrir une gamme complète de solutions (CRJ Series, Q400 et C Series) dans ce marché. Nous prévoyons que la taille de la flotte en service de ce segment de marché, qui compte actuellement 6900 avions, doublera d’ici 2036 pour atteindre 14 250 avions, la demande étant stimulée par les retraits d’avions du service et la croissance du marché.(6)
- En ce qui à trait à la requête déposée par The Boeing Company (Boeing) devant le département du Commerce américain et la Commission de commerce international des États-Unis à l’égard de la menace alléguée que les futures exportations d’avions de la gamme d'avions C Series représentent pour les États-Unis, nous sommes en profond désaccord avec la décision préliminaire du département du Commerce d’imposer des droits de 300 % sur les importations de grands avions civils de 100 à 150 sièges en provenance du Canada. Nous avons confiance qu’à la fin du processus, la Commission du commerce international des États-Unis tirera les conclusions qui s’imposent, c’est-à-dire que Boeing n’a subi aucun préjudice. Nous nous attendons par ailleurs à ce que la Commission du commerce international des États-Unis rende sa décision finale sur le risque de préjudices au cours du premier semestre de 2018.
Aérostructures et Services d’ingénierie
- La marge RAII avant éléments spéciaux s’est élevée à 9,3 % pour le trimestre et à 8,1 % depuis le début de l’exercice. Nous sommes en bonne voie d’atteindre une marge d'environ 8,0 % pour l’exercice complet.(2)
- Nos activités se sont considérablement accélérées conformément à la croissance prévue des programmes d’avions C Series et Global 7000.(2)
Transport
- Au troisième trimestre, les revenus ont augmenté de 20 % pour atteindre 2,1 milliards $, en raison de l’accélération de projets clés qui contribuent graduellement aux prévisions d’environ 8,5 milliards $ pour l’exercice.(2)
- De nouvelles commandes totalisant 1,8 milliard $ au troisième trimestre ont surtout découlé de contrats conclus en Asie-Pacifique et en Europe, portant le ratio de nouvelles commandes sur revenus à 1,1 pour la période de neuf mois. La majorité de nos nouvelles commandes repose sur les plateformes actuelles, ce qui favorise la réutilisation des technologies existantes.
- La marge RAII avant éléments spéciaux de 8,5 % au troisième trimestre et de 8,2 % pour la période de neuf mois nous met sur la bonne voie pour atteindre notre prévision d’environ 8 % pour l’exercice complet.
- Les initiatives de transformation continuent à soutenir l’expansion de la marge. En septembre 2017, la direction et le comité central d’entreprise de Bombardier Transportation GmbH ont conclu une entente générale officielle sur la transformation en Allemagne, permettant de franchir les étapes nécessaires sur la voie de la transformation, notamment la spécialisation des sites allemands.
Bons de souscription reliés au partenariat avec Airbus
Dans le cadre du placement privé auprès d’Airbus de bons de souscription lui permettant d’acquérir jusqu’à 100 000 000 d’actions classe B (droits de vote limités) de Bombardier, la TSX a décidé d’accepter l’avis de placement privé de ces bons de souscription et a approuvé, sous condition, l’inscription à sa cote des actions classe B pouvant être émises aux termes des modalités des bons de souscription. L’inscription sera assujettie au respect, par Bombardier, de toutes les exigences d’inscription de la TSX. L’approbation des porteurs de titres est requise selon les règles de la TSX en raison du fait que les bons de souscription seront émis plus de 45 jours suivant la date à laquelle le prix d’exercice a été fixé, comme il est prévu à l’article 607(f)(i) du Guide à l’intention des sociétés de la TSX. Cette approbation a été obtenue, tel qu’il a été convenu avec la TSX et sur le fondement de la dispense prévue dans l’article 604(d) du Guide à l’intention des sociétés de la TSX, au moyen du consentement écrit des actionnaires détenant plus de 50 % des droits de vote rattachés à toutes les actions émises et en circulation de Bombardier.
À propos de Bombardier
Bombardier est le leader mondial de la fabrication d’avions et de trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.
Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada et nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2016, nos revenus ont été de 16,3 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à www.bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter @Bombardier.
Bombardier, CRJ Series, CS100, CS300, C Series, Global, Global 7000, Q400 et Smart Services sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.
Pour plus d'informations
Simon Letendre Conseiller principal, Relations avec les médias et affaires publiques Bombardier Inc. +514 861 9481 | Patrick Ghoche Vice-président, Relations avec les investisseurs Bombardier Inc. +514 861 5727 |
Le rapport de gestion et les états financiers intérimaires consolidés sont disponibles à l'adresse ri.bombardier.com.
ins : information non significative
pdb : point de base
(1) Marge désigne le RAII avant éléments spéciaux ou la marge RAII avant éléments spéciaux. Mesures financières non conformes aux PCGR.Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin du présent communiqué de presse.
(2) Se reporter à la mise en garde liée aux énoncés prospectifs et à la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs de chaque secteur isolable dans le Rapport financier 2016 pour des détails sur les hypothèses sur lesquelles reposent les prévisions.
(3) Mesures financières non conformes aux PCGR. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin du présent communiqué de presse.
(4) Définies comme Trésorerie et équivalents de trésorerie plus le montant disponible en vertu des facilités de crédit renouvelables.
(5) Se reporter à la mise en garde liée aux énoncés prospectifs à la fin de ce communiqué de presse.
(6) Disponibles sur le site Web de Bombardier dédié aux relations avec les investisseurs, à ri.bombardier.com. Se reporter à la mise en garde liée aux énoncés prospectifs à la fin du présent communiqué.
MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures non définies par les PCGR découlent directement des états financiers consolidés mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres entreprises utilisant ces termes peuvent les définir différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de notre rapport financier une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement de la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections de chaque secteur d’activité du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.
Rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS (PDF)
ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur les objectifs, les prévisions, les cibles, les buts, les priorités, les marchés et les stratégies de l’entreprise, sa situation financière, ses croyances, ses perspectives, ses plans, ses attentes, ses anticipations, ses estimations et ses intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; la position de la Société en regard de la concurrence; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur l'entreprise et ses activités; les liquidités disponibles et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; la clôture et l’échéancier prévu de l’opération avec Airbus décrite aux présentes ainsi que l’obtention des approbations des organismes de réglementation et autres approbations nécessaires dans le cadre de cette opération et l’échéancier prévu pour l’obtention de celles-ci; la gouvernance, le financement et les liquidités de la Société en commandite Avions C Series (SCACS); l’incidence et les avantages escomptés de l’opération avec Airbus décrite aux présentes, de l’investissement par le gouvernement du Québec dans la SCACS et du placement privé visant une participation minoritaire de la Caisse de dépôt et placement du Québec (la « Caisse ») dans Transport sur les activités de la Société, son infrastructure, ses capacités, son développement, sa croissance et autres occasions, sa présence et sa dimension géographiques, son empreinte, sa situation financière, son accès à des capitaux et sa stratégie générale; et l’incidence de cette opération et de ces investissements sur le bilan de la Société et sa situation financière.
Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable lorsqu’il est question de Bombardier et de la SCACS. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le but d’assister les investisseurs et autres dans la compréhension de certains éléments clésdes objectifs, priorités stratégiques, attentes et plans actuels de la Société, ainsi que pour leur permettre d’avoir une meilleure compréhension de ses activités et de l’environnement dans lequel elle prévoit exercer ses activités. Le lecteur est prévenu que de telles informations pourraient ne pas convenir à d’autres fins.
De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que les résultats réels de périodes futures de Bombardier et de la SCACS pourraient différer de façon importante des résultats prévus décrits dans les énoncés prospectifs. Bien que la direction juge ces hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse relativement à l’opération avec Airbus décrite aux présentes comprennent les hypothèses importantes suivantes : le respect de toutes les conditions de clôture et la réalisation de l’opération dans les délais prévus, y compris la réception des approbations des organismes de réglementation (y compris à l’égard des lois antitrust) et des autres approbations; le respect et l’exécution par chacune des parties de ses obligations aux termes de l’accord relatif à l’opération et aux accords commerciaux futurs et l’absence d’inefficacités importantes et d’autres problèmes connexes; la réalisation des avantages et des synergies prévues de l’opération selon l’échéancier prévu; la capacité de la Société à maintenir le plan de financement actuel de la SCACS et à assurer le financement, le cas échéant, des besoins en trésorerie; le caractère adéquat de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement du projet; et l’exactitude de son évaluation des facteurs de croissance prévus et des tendances sectorielles. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse, voir les rubriques Priorités stratégiques et Prévisions et énoncés prospectifs du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2016.
En ce qui a trait spécifiquement à l’opération avec Airbus faisant l’objet des présentes, certains facteurs, qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux prévus dans les énoncés prospectifs, comprennent ce qui suit, sans s’y limiter : les risques associés à la non-réception des approbations des organismes de réglementation (y compris à l’égard des lois antitrust) ou d’autres approbations ou au retard dans la réception de celles-ci ou au non-respect des conditions rattachées à la réalisation de l’opération ou au retard dans le respect de celles-ci et l’incertitude concernant le temps requis pour mener à bien l’opération; les changements touchant les modalités de l’opération; le défaut de l’une des parties de respecter et d’exécuter ses obligations aux termes de l’accord relatif à l’opération et aux accords commerciaux futurs et/ou des inefficacités importantes et d’autres problèmes connexes; l’incidence de l’annonce de l’opération sur les relations de la Société avec les tiers, notamment les contreparties commerciales, les employés et les concurrents, ainsi que sur les relations stratégiques, les résultats d’exploitation et les entreprises en général; la non-réalisation des avantages ou des synergies prévus de l’opération ou le fait qu’ils ne soient pas réalisés selon l’échéancier prévu; l'incapacité de la Société à maintenir son plan de financement actuel de la SCACS et à assurer le financement, le cas échéant, des besoins en trésorerie; le caractère inadéquat de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement du projet. Parmi les autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, au contexte commercial de la Société (tels les risques liés au Brexit, à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail; à la politique commerciale; à l’accroissement de la concurrence; à l’instabilité politique et à des cas de force majeure ou catastrophes naturelles), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services; au développement de nouvelles activités; à la certification et à l’homologation de produits et services; aux engagements à prix et à terme fixes et à la production et à l’exécution de projets; aux pressions sur les flux de trésorerie et sur les dépenses en immobilisations exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier; à la capacité de la Société de mettre en œuvre et de réaliser avec succès sa stratégie et son plan de transformation; aux partenaires commerciaux; aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits; aux procédures réglementaires et judiciaires; aux risques liés à l’environnement et à la santé et sécurité; à la dépendance de la Société à l’égard de certains clients et fournisseurs; aux ressources humaines; à la fiabilité des systèmes informatiques; à la fiabilité des droits relatifs à la propriété intellectuelle; et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers; aux régimes d’avantages de retraite; à l’exposition au risque de crédit; aux obligations importantes au titre des paiements de la dette et des intérêts; à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt et à certains seuils minimums de liquidités; à l’aide du financement en faveur de certains clients; et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt; à la diminution de la valeur résiduelle; à l’augmentation des prix des produits de base; et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2016.
Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. D’autres risques et incertitudes que la Société ne connaît pas ou qu'elle considère comme non importants à l’heure actuelle pourraient également faire en sorte que les résultats ou les événements réels diffèrent considérablement de ceux exprimés explicitement ou implicitement dans ces énoncés prospectifs. En outre, rien ne garantit que l’opération proposée avec Airbus se concrétisera ni que les avantages stratégiques prévus et les synergies attendues sur le plan de l’exploitation, de la concurrence et des coûts seront réalisés en totalité ou en partie, voire qu’ils se réaliseront. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de la direction à la date du présent communiqué de presse et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, la Société nie expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.
Le programme d’avions Global 7000 et Global 8000 est présentement à la phase de développement et est susceptible de changements, notamment en ce qui a trait à la stratégie de gamme, à la marque, à la capacité, aux performances, à la conception et aux systèmes de circuits. Toutes les spécifications et les données sont approximatives, peuvent changer sans préavis et sont assujetties à certaines règles d’exploitation, hypothèses et autres conditions. Le présent document ne constitue ni une offre, ni un engagement, ni une déclaration, ni une garantie d’aucune sorte.