30 octobre 2014

Bombardier annonce ses résultats financiers du troisième trimestre clos le 30 septembre 2014

(Tous les montants de ce communiqué de presse sont exprimés en dollars américains, sauf indication contraire. Ce communiqué de presse contient à la fois des mesures conformes aux IFRS et des mesures non conformes aux PCGR. Les mesures non conformes aux PCGR sont définies et leur rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS est présenté dans le rapport de gestion de la Société. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.)

  • Revenus de 4,9 milliards $, contre 4,1 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
  • RAII avant éléments spéciaux(1) de 291 millions $, ou 5,9 % des revenus, contre 210 millions $, ou 5,2 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
  • Résultat net ajusté(1) de 222 millions $ (RPA ajusté(1) de 0,12 $), comparativement à 165 millions $ (RPA ajusté de 0,09 $) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
  • Utilisation de flux de trésorerie disponibles(1) de 368 millions $, contre une utilisation de 522 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent, incluant un investissement net de 444 millions $ en immobilisations corporelles et incorporelles
  • Sources de financement disponibles à court terme de 3,3 milliards $, y compris la trésorerie et les équivalents de trésorerie de 1,9 milliard $ au 30 septembre 2014, contre respectivement 4,8 milliards $ et 3,4 milliards $ au 31 décembre 2013
  • Carnet de commandes de 72,4 milliards $ au 30 septembre 2014, comparativement à 69,7 milliards $ au 31 décembre 2013

 (1)       Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.

Bombardier a présenté aujourd’hui ses résultats financiers du troisième trimestre clos le 30 septembre 2014. Les revenus du trimestre ont été de 4,9 milliards $, comparativement à 4,1 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent, ce qui représente une hausse de 20 % compte non tenu de l’incidence des taux de change.

Le résultat avant charges de financement, revenus de financement et impôts sur le résultat (RAII) du troisième trimestre clos le 30 septembre 2014 a totalisé 171 millions $, ou 3,5 % des revenus, comparativement à 210 millions $, ou 5,2 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII avant éléments spéciaux a été de 291 millions $, ou 5,9 % des revenus, comparativement à 210 millions $, ou 5,2 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le résultat net a totalisé 74 millions $, ou un résultat par action (RPA) de 0,03 $, comparativement à 147 millions $, ou 0,08 $, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Sur une base ajustée, le résultat net du troisième trimestre clos le 30 septembre 2014 a été de 222 millions $, ou un RPA de 0,12 $, comparativement à 165 millions $, ou 0,09 $, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

L’utilisation des flux de trésorerie disponibles (flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles moins les additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles) pour le trimestre clos le 30 septembre 2014 a été de 368 millions $, contre une utilisation de 522 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Les sources de financement disponibles à court terme de 3,3 milliards $ au 30 septembre 2014 incluaient un montant de trésorerie et équivalents de trésorerie de 1,9 milliard $, en regard de respectivement 4,8 milliards $ et 3,4 milliards $ au 31 décembre 2013. Le carnet de commandes total atteignait 72,4 milliards $ au 30 septembre 2014, contre 69,7 milliards $ au 31 décembre 2013.

« Au cours du troisième trimestre, nous avons connu une bonne dynamique chez Aéronautique, avec des améliorations sur tous les fronts. Les essais en vol de l’avion CSeries ont repris en septembre et progressent bien. Transport a aussi connu de bons résultats ce trimestre. Son carnet de commandes a continué de croître avec des commandes de petites et moyennes tailles remportées dans différentes régions et portant sur différents produits, maintenant ainsi son rang de leader de l’industrie du rail, a déclaré Pierre Beaudoin, président et chef de la direction, Bombardier Inc.

« Nous avons déployé chez Aéronautique l’important plan de restructuration annoncé en juillet tandis que Transport a continué à réaliser OneBT, mettant en place les conditions nécessaires pour continuer sur notre lancée vers la croissance rentable. Notre nouvelle structure organisationnelle plus légère résultera en une organisation plus agile, présentant en plus l’avantage de coûts réduits. Cela, combiné avec nos investissements dans de nouveaux produits, assurera notre leadership sur le marché et une exécution améliorée de notre solide carnet de commandes de 72,4 milliards $ », a conclu M. Beaudoin.

Bombardier a aussi annoncé la démission de monsieur Thierry Desmarest de son conseil d’administration. À la suite du récent décès de monsieur Christophe de Margerie, Président-directeur général de la société française d’énergie Total S.A., M. Desmarest a été nommé président du conseil d’administration de la société. M. Desmarest a donc été tenu de réduire son nombre de mandats d’administrateur pour se conformer au Code français de gouvernement d’entreprise des sociétés cotées. Le conseil d’administration de Bombardier a accepté avec regret la démission de M. Desmarest.

Bombardier Aéronautique

Les revenus de Bombardier Aéronautique du trimestre clos le 30 septembre 2014 ont augmenté de 29 % pour s’établir à 2,6 milliards $, contre 2,0 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII du troisième trimestre a totalisé 74 millions $, ou 2,9 % des revenus, comparativement à 86 millions $, ou 4,3 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII avant éléments spéciaux a totalisé 137 millions $, ou 5,3 % des revenus, comparativement à 86 millions $, ou 4,3 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles a été de 180 millions $ (incluant des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles de 415 millions $) pour le troisième trimestre clos le 30 septembre 2014, comparativement à une utilisation de 406 millions $ (incluant des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles de 585 millions $) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Bombardier Aéronautique a livré un total de 71 avions au cours du troisième trimestre clos le 30 septembre 2014, contre 45 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent, et obtenu 76 commandes nettes, en regard de 26 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique a atteint 37,9 milliards $ au 30 septembre 2014, comparativement à 37,3 milliards $ au 31 décembre 2013.

En septembre, l’avion CSeries a repris ses essais en vol et le programme progresse bien. Plus de 120 heures de vol ont été réalisées avec deux véhicules d’essais en vol (FTV), portant le nombre total d’heures d’essais en vol à 450. Le système des commandes de vol électriques du FTV2 fonctionne maintenant en mode normal et les essais en vol se poursuivent comme prévu. La mise en service de l’avion CS100 est prévue pour le deuxième semestre de 2015, et celle de l’avion CS300 suivra environ six mois plus tard.

Avions commerciaux a reçu une commande ferme de 40 avions CS300 assortie d’options sur 10 autres avions CS300d’une filiale en propriété exclusive de Macquarie AirFinance. La commande ferme est évaluée à 3,1 milliards $ selon le prix affiché. Cette commande porte à 563 le nombre de commandes fermes et ententes visant des avions CSeries, avec 21 clients dans 18 pays, dont 243 commandes fermes.

Dans le cadre de la nouvelle structure organisationnelle annoncée le 23 juillet 2014, la réduction des effectifs a été faite au cours des dernières semaines et une charge de restructuration connexe de 63 millions $ a été comptabilisée comme élément spécial. Cette réduction des effectifs devrait générer environ 200 millions $ d’économies annuelles.

Après la fin du trimestre, Bombardier Aéronautique a lancé le nouvel avion Challenger 650, modèle évolué de l’appareilChallenger 605. L’avion Challenger 650 offrira des capacités accrues en matière de performance grâce à ses moteurs améliorés et sera doté d’un intérieur entièrement nouveau et de la technologie de poste de pilotage Bombardier Vision. Sa mise en service est prévue pour 2015.

Bombardier Transport

Les revenus de Bombardier Transport pour le trimestre clos le 30 septembre 2014 ont été de 2,3 milliards $, comparativement à 2,1 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent, une augmentation de 12 % compte non tenu de l’incidence des taux de change. Le RAII a totalisé 97 millions $, ou 4,2 % des revenus, comparativement à 124 millions $, ou 6,0 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII avant éléments spéciaux a totalisé 154 millions $, ou 6,6 % des revenus, comparativement à 124 millions $, ou 6,0 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles du trimestre clos le 30 septembre 2014 a totalisé 81 millions $, comparativement à une utilisation de 5 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le total de nouvelles commandes a atteint 1,1 milliard $ (ratio de nouvelles commandes sur revenus de 0,5), portant à 10,8 milliards $ la valeur totale des nouvelles commandes remportées au cours des neuf premiers mois de l’exercice (ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,6). Cela se traduit en un carnet de commandes de 34,5 milliards $ au 30 septembre 2014, contre 32,4 milliards $ au 31 décembre 2013.

Parmi les principales commandes remportés au cours du trimestre clos le 30 septembre 2014, la Société Nationale des Chemins de fer Français (SNCF) a exercé une option de 22 trains de banlieue de type Francilien additionnels. La commande est évaluée à environ 218 millions $ et fait partie du contrat initial signé en 2006 avec la SNCF portant sur un maximum de 372 trains pour l’Île-de-France. Avec cette levée d’option, un total de 194 trains Francilien ont été commandés. Bombardier Transport a aussi signé un nouveau contrat avec la New Jersey Transit Corporation (NJ TRANSIT) pour fournir des services d’exploitation et de maintenance pour sa ligne de tramway River Line Light Rail. Le contrat d’une valeur approximative de 296 millions $ couvre une période de 15 ans et est assorti d’une option de cinq années additionnelles.

À la suite des initiatives de réorganisation annoncées en juillet dernier, une charge de restructuration de 57 millions $ liée à la réduction des effectifs a été comptabilisée comme un élément spécial. Ces mesures devraient générer environ 68 millions $ d’économies annuelles.

Faits saillants financiers

Principales informations financières

DIVIDENDES SUR ACTIONS ORDINAIRES

Actions classe A et classe B 
Un dividende trimestriel de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe A (droits de vote multiples) et de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe B (droits de vote limités) est payable le 31 décembre 2014 aux porteurs d'actions inscrits à la fermeture des marchés le 12 décembre 2014.

Les porteurs d'actions classe B (droits de vote limités) inscrits à la fermeture des marchés le 12 décembre 2014 ont aussi droit à un dividende prioritaire trimestriel de 0,000390625 $ CAN par action.

DIVIDENDES SUR ACTIONS PRIVILÉGIÉES

Actions privilégiées, série 2 
Un dividende mensuel sur les actions privilégiées, série 2 de 0,0625 $ CAN par action a été payé les 15 août, 15 septembre et 15 octobre 2014.

Actions privilégiées, série 3 
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 3 de 0,195875 $ CAN par action est payable le 31 octobre 2014 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 17 octobre 2014.

Actions privilégiées, série 4 
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 4 de 0,390625 $ CAN par action est payable le 31 octobre 2014 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 17 octobre 2014.

À propos de Bombardier

Bombardier est le seul constructeur au monde à fabriquer à la fois des avions et des trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership mondial en transport résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.

Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto, et nous sommes l’une des entreprises composant les indices de durabilité Dow Jones Sustainability World et Dow Jones Sustainability North America. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2013, nos revenus ont été de 18,2 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse  bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter:  @Bombardier.

Bombardier, Bombardier Vision, Challenger, Challenger 605, Challenger 650, CS100, CS300, CSeries et L’évolution de la mobilité sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Pour plus d'informations

Isabelle Rondeau
Directrice, Communications
Bombardier Inc.
+514 861 9481

Shirley Chénier
Directrice principale, Relations avec les investisseurs
Bombardier Inc.
+514 861 9481

 

Le rapport de gestion et les états financiers intérimaires consolidés sont disponibles à l’adresse Internet ri.bombardier.com.

ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; et l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous formulions des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que nous jugions nos hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à notre disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué, se reporter à la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs respective des sections Aéronautique et Transport du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2013.

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien et des principaux exploitants ferroviaires, à l’instabilité politique et à des cas de force majeure), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, aux engagements à modalités fixes et à la production et à l’exécution de projets, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur le rendement des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l’environnement, à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers, aux régimes d’avantages de retraite, à l’exposition au risque de crédit, à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt, à l’aide au financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale) et au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle et à l’augmentation des prix des produits de base). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion de notre rapport financier annuel pour l’exercice clos le 31 décembre 2013. Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas s’y fier indûment. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent nos attentes à la date du présent communiqué et pourraient subir des modifications après cette date. À moins que nous n’y soyons tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures non définies par les PCGR découlent directement des états financiers consolidés intermédiaires, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les calculer différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de nos rapports financiers une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement de la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections Aéronautique et Transport du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.