14 février 2019
Résultats financiers
Bombardier présente ses résultats du quatrième trimestre et de l’exercice 2018
- RAII avant éléments spéciaux(1) en hausse de 42 % sur douze mois pour atteindre 1,0 G$ sur des revenus de 16,2 G$ pour l’exercice; hausse du RAII de 235 % sur douze mois pour atteindre 1,0 G$
- Marge RAII avant éléments spéciaux(1) pour 2018 en hausse de 180 pdb sur douze mois pour atteindre 6,3 %; marge RAII de 6,2 %
- Flux de trésorerie disponibles(1) de 182 M$ pour l’exercice, incluant le produit de certaines transactions, y compris 1,0 G$ de trésorerie générée au quatrième trimestre; flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles de 597 M$ pour l’exercice
- Solide croissance des carnets de commandes d’Avions d’affaires et de Transport, avec des ratios de nouvelles commandes sur revenus de 1,1 pour l’exercice; et un carnet de commandes consolidé de 53,1 G$
- Confirmation des prévisions 2019, plan précis pour atteindre les objectifs pour 2020
Bombardier (TSX: BBD.B) a présenté aujourd’hui ses résultats financiers du quatrième trimestre et de l’exercice 2018, soulignant une solide croissance de sa marge, des flux de trésorerie plus élevés et des progrès soutenus dans l’exécution de son plan de redressement. La mise en service réussie du jet d’affaires Global 7500 au quatrième trimestre a aussi marqué la fin du cycle d’investissements massifs de Bombardier, une étape clé du plan de redressement de l’entreprise.
« L’année 2018 a été une année de solides progrès, a dit Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc. Nous avons continué à renforcer notre entreprise et bâti de fortes assises pour la croissance, comprenant un portefeuille actualisé composé de produits parmi les meilleurs de leur catégorie, des carnets de commandes qui font l'envie de l'industrie et une structure de coût allégée. Tout cela nous place en bonne position pour atteindre nos objectifs pour 2020.
« Alors que nous entamons la quatrième année de notre plan de redressement, Bombardier est une entreprise beaucoup plus solide, a poursuivi M. Bellemare. Les principaux risques de nos programmes ont été atténués, notre cycle d’investissements intensifs est derrière nous et nos secteurs d’activité sont bien placés pour croître. En 2019, nos efforts seront axés sur une exécution sans faille de nos projets ferroviaires, l’accélération de la production d’avions Global 7500 et la mise en service des avions Global 5500 et Global 6500. Nous continuerons aussi à améliorer notre performance financière par une allocation disciplinée des capitaux, une productivité accrue et des gains en efficacité dans l’ensemble de l’entreprise. »
Les revenus consolidés de Bombardier en 2018 ont totalisé 16,2 milliards $, reflétant une hausse moyenne de 3 % sur ceux de l’exercice précédent chez Transport, Avions d’Affaires ainsi qu’Aérostructures et Services d’ingénierie, avant l’incidence des fluctuations des taux de change. Les ratios de nouvelles commandes sur revenus de Transport et d’Avions d’affaires ont tous deux été de 1,1 pour l’exercice, démontrant une forte demande pour les produits et services de Bombardier. Le carnet de commandes consolidé de Bombardier totalisait 53,1 milliards $ fin 2018, appuyant les futurs objectifs de croissance.
Le RAII avant éléments spéciaux a continué de s’améliorer en 2018. En hausse de 42 % sur celui de l’exercice précédent, il est passé de 725 millions $ à plus de 1,0 milliard $, le haut de la fourchette de prévisions de l’entreprise. La marge RAII avant éléments spéciaux de 6,3 % pour 2018 représente une solide progression de 330 pdb depuis le début de notre plan de redressement en 2015, une marge bien supérieure à la fourchette de 5 à 6 % initialement prévue. Sur une base présentée, le RAII a progressé de 235 % sur douze mois pour atteindre 1,0 milliard $, ce qui représente une marge de 6,2 %.
L’entreprise a généré 1,0 milliard $ de flux de trésorerie disponibles au quatrième trimestre 2018. Les flux de trésorerie disponibles de l’exercice ont totalisé 182 millions $, au sommet de la prévision révisée de l’entreprise. Ce montant inclut le produit net total d’environ 750 millions $ provenant de la vente de la propriété de Downsview et du versement de redevances en vertu de la transaction intervenue avec CAE antérieurement annoncée. Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles ont été de 597 millions $ pour l’exercice et de 1,3 milliard $ pour le quatrième trimestre. L’entreprise a terminé l’année avec une solide situation de trésorerie, soit 3,2 milliards $ de trésorerie et d’équivalents de trésorerie.
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS SECTORIELS
Avions d’affaires
- Avions d’affaires a franchi une étape historique en décembre 2018 avec la mise en service, comme prévu, de l’avion emblématique le plus grand et à la plus grande autonomie de l’industrie, l’avion Global 7500. Fort d’un solide carnet de commandes et de performances inégalées au sein de sa catégorie, l’avion Global 7500 devrait constituer un facteur de croissance clé pour Avions d’affaires pendant les années à venir.
- Les revenus, le RAII avant éléments spéciaux et le nombre de livraisons ont été conformes aux prévisions pour 2018.
- Le secteur est arrivé premier de l’industrie en ce qui a trait au nombre de livraisons, avec 137 avions en 2018, dont 42 avions Global, 83 avions Challenger et 12 avions Learjet.
- Les progrès soutenus réalisés dans la stratégie de service après-vente ont généré une hausse des revenus de 14,3 % sur douze mois. La poursuite de l’expansion de notre réseau de services a aussi été annoncée, avec l’inauguration des travaux visant la construction d’un nouveau centre à Miami, en Floride, destiné à servir la clientèle des États-Unis et d’Amérique latine.
- Au cours de l’exercice, Avions d’affaires a dévoilé les nouveaux avions Global 5500 et Global 6500 qui, dotés d’un moteur Rolls-Royce entièrement nouveau et d’une aile nouvellement optimisée, offrent une autonomie accrue et une consommation de carburant moindre. Compte tenu du stade avancé des essais en vol, la mise en service de ces avions de premier ordre en matière de performance devrait avoir lieu à la fin de 2019.(5)
Avions commerciaux
- En 2018, Avions commerciaux a considérablement remanié son portefeuille, concentrant ses activités sur le programme CRJ Series et ses services après-vente, tout en participant à la croissance de la gamme d’avions A220 par l’intermédiaire de son partenariat avec Airbus.
- La clôture du partenariat C Series (SCACS) avec Airbus a eu lieu le 1er juillet 2018, regroupant deux gammes de produits complémentaires et tirant avantage de la portée mondiale d’Airbus, créant ainsi un potentiel de valeur important pour les avions nouvellement renommés A220.
- Le 7 novembre 2018, une entente définitive a été conclue avec Longview Aircraft Company of Canada Limited visant la vente des actifs du programme d’avions Q Series, y compris les activités et les actifs de services après-vente, pour un produit brut d’environ 300 millions $. La clôture de cette transaction devrait avoir lieu d’ici le deuxième semestre de 2019, sous réserve du respect des conditions de clôture habituelles et de l’obtention des approbations des organismes de réglementation. Le produit net de cette transaction devrait s’élever à environ 250 millions $, déduction faite des frais, des passifs et des ajustements de clôture habituels.
- Les revenus et les livraisons d’avions pour 2018 ont été conformes aux prévisions sur la base du retrait des résultats de SCACS du périmètre de consolidation d’Avions commerciaux depuis le 1er juillet 2018.
- Le RAII négatif avant éléments spéciaux(10) s’est élevé à 157 millions $, reflétant en grande partie les pertes subies sur le programme C Series au cours du premier semestre de l’exercice et la quote-part du résultat net de SCACS après la clôture. Le RAII négatif de 755 millions $ comprend une charge comptable avant impôts de 616 millions $ liée à la clôture de la transaction visant SCACS.
- Avions commerciaux continue d’être activement présent sur le marché des avions régionaux grâce à la renommée des avions CRJ Series – lesquels sont conformes aux clauses de portée – et se concentre sur la réduction des coûts et l’accroissement des volumes, tout en optimisant le service après-vente pour la vaste flotte actuellement en service dans le monde. L’accent étant mis sur le retour à la rentabilité du programme, Bombardier a également annoncé en 2018 qu’elle évaluait les options stratégiques pour le programme.
Aérostructures et Services d’ingénierie
- Aérostructures et Services d’ingénierie est positionné comme l’un des principaux fournisseurs des programmes de croissance en début de cycle de vie, y compris ceux des nouveaux avions A220 et Global 7500 qui devraient être les moteurs d’une croissance durable.
- En 2018, les revenus du secteur ont augmenté de 21 % par rapport à ceux de l’exercice précédent, pour s’établir à 2,0 milliards $, conformément aux prévisions.
- Une attention ciblée tout au long de l’accélération de la cadence de production de ces programmes et un élément favorable non récurrent (environ 50 pdb) associé à la clôture du partenariat C Series ont permis de réaliser un RAII avant éléments spéciaux de 9,6 % supérieur aux prévisions. La marge RAII pour le secteur d’activité s’est établie à 7,5 %.
- Le 6 février 2019, la Société a fait l’acquisition des activités et des actifs liés au programme de fabrication d’aile d’avion Global 7500 de Triumph Group Inc., en contrepartie d’un montant nominal en trésorerie. Cette transaction devrait renforcer la position de chef de file de Bombardier en tant que fabricant d’aérostructures, permettre à la Société de tirer parti de sa vaste expertise technique pour soutenir l’accélération de la cadence de production de l’avion Global 7500, et accroître son succès à long terme. Bombardier continuera d’exploiter la chaîne de production et d’intégrer les employés affectés actuellement au programme dans les installations de Triumph à Red Oak, au Texas.
- Le 7 février 2019, Paul Sislian a été nommé président d’Aérostructures et Services d’ingénierie. Paul cumule plus de 20 ans d’expérience aéronautique et industrielle, y compris récemment comme chef de l’exploitation de Bombardier Avions d’affaires.
Transport
- Le 7 février 2019, Danny Di Perna a été nommé président, Bombardier Transport. Danny apporte à ce nouveau poste plus de 30 années d’expérience industrielle. Il a fait ses preuves dans la direction de projets et d’entreprises industrielles complexes, dans l’obtention de gains en efficacité opérationnelle, et dans l’amélioration de la qualité. Il dirigeait tout récemment le secteur d’activité d’Aérostructures et Services d’ingénierie de Bombardier.
- En 2018, Transport a remporté des commandes totalisant 9,9 milliards $, dont 3,3 milliards $ de nouvelles commandes au quatrième trimestre. Le ratio de nouvelles commandes sur revenus a atteint 1,5 pour le quatrième trimestre, donnant lieu à un ratio à 1,1 pour l’exercice, ce qui continue de placer le secteur d’activité en position d’accroître ses revenus et sa rentabilité, s’appuyant sur les éléments fondamentaux de l’industrie.
- Les nouvelles commandes de l’exercice reflètent des projets remportés dans toutes les régions, avec des attributions de contrats dignes de mention en Europe, notamment la commande renouvelée de la SNCF en France, le contrat de voitures de métro de Singapour en Asie, et les solutions de mobilité de transport collectif et solutions aéroportuaires pour les villes de Phoenix et de Los Angeles en Amérique du Nord.
- Le carnet de commandes a atteint 34,5 milliards $ au 31 décembre 2018. La croissance du carnet de commandes (en excluant les fluctuations des taux de change) a été soutenue par une meilleure combinaison de projets de plateformes et par l’augmentation du nombre de contrats de signalisation et de services, conformément à la stratégie de Transport visant à augmenter la rapidité de mise en marché, à fournir à la clientèle des solutions complètes et à réduire les risques liés à l’exécution tout en augmentant les marges.
- Après le quatrième trimestre, en janvier 2019, Transport a obtenu un contrat de la New Jersey Transit Corporation pour la fourniture de 113 voitures de transport de passagers de nouvelle génération d’une valeur totale approximative de 669 millions $, assorti d’options visant jusqu’à 886 voitures additionnelles.
- La performance financière de 2018 place Transport en bonne position pour atteindre ses prévisions pour 2019 :
- Les revenus ont augmenté de 4 % sur douze mois, pour s’établir à 8,9 milliards $, conformément aux prévisions, soutenus par l’incidence positive des taux de change au cours du premier semestre (croissance de 2 % en excluant l’incidence des taux de change). Les revenus tirés des services et de la signalisation ont augmenté, comptant pour plus de 34 % des revenus pour l’exercice, tandis que davantage d’importance est accordée aux solutions-clients intégrées.
- Le RAII avant éléments spéciaux a augmenté, pour s’établir à 750 millions $ pour l’exercice, ce qui représente une marge de 8,4 % (RAII de 774 millions $, ou marge de 8,7 %). La marge avant éléments spéciaux du quatrième trimestre était de 7,7 % (marge RAII de 10,9 %), par suite d’ajustements aux estimations de contrats en grande partie liés à un projet existant, donnant lieu à une marge avant éléments spéciaux pour l’exercice légèrement inférieure à la prévision de 8,5 %.
- Tel que discuté lors de la Journée des investisseurs de l’entreprise en décembre 2018, Transport continue de progresser sur certain projets existants. L’entreprise a mis en oeuvre des plans et prend des mesures pour achever l’intégration des systèmes, obtenir l’homologation et aligner les échéanciers de livraison avec les clients. Bombardier devrait avoir achevé en grande partie les livraisons sur la plupart de ces projets et rétabli considérablement le fonds de roulement au cours de 2019.
- Avec l’amélioration soutenue du portefeuille, Transport prévoit porter sa marge RAII avant éléments spéciaux à environ 9 % pour 2019, conformément à sa prévision.
Investissement de la Caisse dans BT Holdco
L’entreprise a également annoncé que les résultats de Transport en 2018 n’ont pas atteint les cibles de performance sous-tendant l’investissement de la Caisse de dépôt et placement du Québec (la Caisse) dans BT Holdco. Par conséquent, pour la période de douze mois débutant le 12 février 2019, le pourcentage de la participation de Bombardier, à la conversion des actions de la Caisse, sera diminué de 2,5 %, pour revenir à 70 %, soit le pourcentage initial; le taux du droit à un rendement préférentiel en matière de liquidation de ses actions sera augmenté, passant de 7,5 %, à 9,5 % pour cette période. Tout dividende versé par BT Holdco à ses actionnaires pendant cette période sera distribué en fonction du pourcentage de participation de chaque actionnaire à la conversion, soit 70 % pour Bombardier et 30 % pour la Caisse. Ces ajustements entreront en vigueur une fois que les états financiers consolidés audités de BT Holdco seront dûment approuvés par son conseil d’administration.
À propos de Bombardier
Avec plus de 68 000 employés répartis entre quatre secteurs d’activité, Bombardier est un leader mondial de l’industrie du transport, créant des avions et des trains novateurs qui changent la donne sur leur marché. Nos produits et nos services offrent des expériences de transport de calibre international qui établissent de nouvelles normes en matière de confort des passagers, d’efficacité énergétique, de fiabilité et de sécurité.
Avec son siège social situé à Montréal, au Canada, Bombardier a des installations de production et d’ingénierie dans 28 pays, couvrant les secteurs Transport, Avions d’affaires, Avions commerciaux et Aérostructures et Services d’ingénierie. Les actions de Bombardier se négocient à la Bourse de Toronto (BBD). Pour l’exercice clos le 31 décembre 2018, nos revenus ont été de 16,2 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l’adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.
Bombardier Inc. utilise son site Web comme canal de diffusion d’information importante sur l’entreprise. L’information financière et toute autre information importante relative à Bombardier Inc. est normalement affichée sur son site Web et est accessible à bombardier.com. Les investisseurs sont avisés par la présente qu’à partir de maintenant, l’information au sujet des dividendes réguliers déclarés et versés par Bombardier ne sera disponible que sur son site Web, à moins qu’elle n’y soit tenue selon les lois sur les valeurs mobilières applicables.
Bombardier, Challenger, CRJ550, CRJ Series, Global, Global 5500, Global 6500, Global 7500, Global 8000, Learjet et Q Series sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.
Pour plus d'informations
Simon Letendre Gestionnaire, Relations avec les médias et affaires publiques Bombardier Inc. +1 514 861 9481 | Patrick Ghoche Vice-président, Relations avec les investisseurs Bombardier Inc. +1 514 861 5727 |
Nous recommandons fortement aux lecteurs de consulter notre rapport de gestion ainsi que nos états financiers consolidés qui sont affichés sur notre site Web à ri.bombardier.com pour obtenir une analyse plus détaillée de nos résultats sectoriels.
ins : information non significative
pdb : points de base
- Mesures financières non conformes aux PCGR. Se reporter à la Mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.
- En raison de l’adoption de l’IFRS 15, Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients. Se reporter à la rubrique Nouveautés en comptabilité et en présentation de l’information financière de la section Autres du rapport de gestion de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2018 pour des détails sur le retraitement des chiffres de la période comparative.
- Comprennent la trésorerie et les équivalents de trésorerie du programme d’avions C Series présentés dans les actifs détenus en vue de la vente totalisant 69 millions $ au 31 décembre 2018. Se reporter à la rubrique Partenariat stratégique de la section Avions commerciaux, à la Note 16 – Trésorerie et équivalents de trésorerie, ainsi qu’à la Note 31 – Cession d’activités des états financiers consolidés 2018 de la Société pour plus de détails sur la transaction et le traitement comptable.
- Définies comme la trésorerie et les équivalents de trésorerie plus le montant disponible en vertu des facilités de crédit renouvelables.
- En cours de développement. Se reporter à la mise en garde relative aux avions Global 5500, Global 6500, Global 8000 et CRJ550 à la fin du présent communiqué de presse.
- Compte tenu des revenus de SCACS pour les six premiers mois de l’exercice clos le 31 décembre 2018 et pour l’exercice clos le 31 décembre 2017.
- À l’exclusion de 13 livraisons d’avions CS300 du premier semestre de l’exercice clos le 31 décembre 2018 (3 livraisons d’avions CS100 et 14 livraisons d’avions CS300 de l’exercice clos le 31 décembre 2017).
- À l’exclusion de commandes visant 30 avions CS300 du premier semestre de l’exercice clos le 31 décembre 2018 (12 avions CS300 de l’exercice clos le 31 décembre 2017).
- Ratio de nouvelles commandes reçues sur le nombre de livraisons d’avions, en unités, excluant les commandes et les livraisons d’avions C Series.
- Compte tenu de la quote-part de la perte nette de SCACS pour les six mois débutant le 1er juillet 2018, totalisant 40 millions $.
- À l’exclusion de 115 commandes fermes et 88 options visant des avions CS100 ainsi que de 250 commandes fermes et 143 options visant des avions CS300 au 30 juin 2018 (115 commandes fermes et 94 options visant des avions CS100 et 233 commandes fermes et 128 options visant des avions CS300 au 31 décembre 2017). Après la clôture du partenariat C Series, Airbus a renommé les avions CS100 et CS300 respectivement A220-100 et A220-300.
MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Ce communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les IFRS et sur les mesures financières non conformes aux PCGR suivantes :
Mesures financières non conformes aux PCGR | |
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RAII avant éléments spéciaux | RAII excluant l’incidence des charges de restructuration, des charges de dépréciation importantes et leur reprise, et d’autres éléments inhabituels importants. |
RAIIA avant éléments spéciaux | RAII avant éléments spéciaux, amortissement et charges de dépréciation des immobilisations corporelles et incorporelles. |
Résultat net ajusté | Résultat net, compte non tenu des éléments spéciaux, de la charge de désactualisation des obligations nette au titre des avantages de retraite, de certains gains et pertes nets découlant des modifications de l’évaluation des provisions et des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du résultat net et de l’incidence fiscale connexe de ces éléments.
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RPA ajusté | RPA calculé d’après le résultat net ajusté attribuable aux détenteurs d’instruments de capitaux propres de Bombardier Inc. au moyen de la méthode du rachat d’actions en tenant compte de l’exercice de tous les facteurs de dilution.
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Flux de trésorerie disponibles (utilisation) | Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles. |
Dette ajustée | Dette à long terme comme présentée dans les états de la situation financière consolidés, ajustée pour tenir compte de la juste valeur des dérivés (ou des dérivés réglés) désignés dans des relations de couverture connexes plus les emprunts à court terme, les obligations au titre des transactions de cession-bail et la valeur actuelle nette des obligations au titre des contrats de location simple.
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RAII ajusté | RAII avant éléments spéciaux, plus l’ajustement des intérêts sur les contrats de location simple, et intérêts reçus (d’après l’information supplémentaire fournie dans les états des flux de trésorerie consolidés, ajustés au besoin pour tenir compte du règlement des dérivés de couverture de juste valeur avant leur date d’échéance contractuelle).
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RAIIA ajusté | RAII ajusté, plus l’amortissement, les charges de dépréciation des immobilisations corporelles et incorporelles et l’ajustement pour l’amortissement afin de tenir compte des contrats de location simple. |
Intérêts ajustés | Intérêts versés, d’après l’information supplémentaire fournie dans les états des flux de trésorerie consolidés, plus la charge de désactualisation des obligations au titre des transactions de cession-bail et l’ajustement des intérêts sur les contrats de location simple. |
Les mesures financières non conformes aux PCGR sont tirées principalement des états financiers consolidés, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS. L’exclusion de certains éléments des mesures de rendement non conformes aux PCGR ne signifie pas que ces éléments sont nécessairement ponctuels. D’autres entités de l’industrie de la Société peuvent définir les mesures susmentionnées de manière différente. Dans ce cas, il peut être difficile de comparer le rendement de ces entités au rendement de la Société selon des mesures non conformes aux PCGR ayant une appellation similaire.
RAII avant éléments spéciaux, RAIIA avant éléments spéciaux, résultat net ajusté et résultat par action ajusté
La direction utilise le RAII avant éléments spéciaux, le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté et le résultat par action ajusté aux fins de l’évaluation de la performance sous-jacente de l’entreprise. La direction croit que ces mesures du résultat non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux lecteurs du communiqué de presse de la Société une meilleure compréhension des résultats de Bombardier et des tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de l’entreprise. Le RAII avant éléments spéciaux, le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté et le RPA ajusté excluent des éléments qui ne reflètent pas le rendement de base de la Société ou dont l’exclusion aidera les lecteurs à comprendre les résultats de Bombardier pour la période. C’est pourquoi un grand nombre de lecteurs du communiqué de presse analysent les résultats de la Société d’après ces mesures financières. La direction est d’avis que ces mesures aident les lecteurs du communiqué de presse à mieux analyser les résultats, améliorent la comparabilité des résultats de la Société d’une période à l’autre ainsi que la comparabilité avec ses pairs.
Flux de trésorerie disponibles (utilisation)
Les flux de trésorerie disponibles correspondent aux flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles diminués des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles. La direction croit que cette mesure des flux de trésorerie non conforme aux PCGR permet aux investisseurs d’avoir une vision claire de la trésorerie disponible générée pour les actionnaires de la Société, le remboursement de la dette et les acquisitions une fois engagées les dépenses en immobilisations requises à l’appui des activités courantes de l’entreprise et la création de valeur à long terme. Cette mesure des flux de trésorerie non conforme aux PCGR ne correspond pas aux flux de trésorerie disponibles résiduels aux fins des dépenses discrétionnaires, étant donné qu’elle ne tient pas compte de certaines sorties de fonds obligatoires, comme le remboursement de la dette arrivant à échéance. La direction a recours aux flux de trésorerie disponibles à titre de mesure d’évaluation de la performance de l’entreprise et de la génération de liquidités dans son ensemble.
Dette ajustée, RAII ajusté, RAIIA ajusté et intérêts ajustés
La Société analyse sa structure du capital en fonction d’indicateurs globaux qui reposent sur la dette ajustée, le RAII ajusté, le RAIIA ajusté et les intérêts ajustés. Se reporter à la rubrique Structure du capital du rapport de gestion de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2018 pour plus de détails.
Le rapprochement des mesures financières non conformes aux PCGR avec les mesures les plus comparables des IFRS est présenté dans les tableaux ci-après, à l’exception du rapprochement suivant :
- RAII avant éléments spéciaux et RAII – se reporter aux tableaux Résultats opérationnels des secteurs isolables et à la rubrique Résultats opérationnels consolidés du rapport de gestion de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2018.
Rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS (PDF)
ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos attentes et nos prévisions à propos de divers indicateurs financiers et globaux et sources d’apport connexes, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, notre position sur le marché, nos capacités, notre position en regard de la concurrence, nos cotes de crédit, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos anticipations, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; la stratégie de croissance, y compris celle des activités de services après-vente pour des avions d’affaires; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; les attentes à l’égard de la résorption du fonds de roulement relativement à l’ensemble des projets existants de Transport; les prévisions relatives à la composition des revenus et du carnet de commandes; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités; la robustesse de notre structure du capital et de notre bilan, notre solvabilité, nos liquidités et sources de financement disponibles, nos besoins financiers prévus et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; la mise en place d’améliorations visant la productivité et les gains d’efficacité opérationnelle et d’initiatives de restructuration et les coûts prévus s’y rattacher, les avantages recherchés et le moment de leur matérialisation; les objectifs et les cibles financières sous-jacents à notre plan de transformation ainsi que son calendrier de réalisation et les progrès de sa mise en œuvre, notamment la transition de l’entreprise vers un cycle de croissance et la génération de liquidités; les prévisions et les objectifs en matière de remboursement de la dette; les attentes à l’égard du remboursement en temps opportun de l’investissement de la Caisse dans BT Holdco; les intentions et les objectifs à l’égard de nos programmes, y compris l’accent mis sur le retour à la rentabilité et l’évaluation des options stratégiques qui s’offrent pour le programme CRJ Series; le financement et les liquidités de la Société en commandite Avions C Series (SCACS); et l’incidence prévue et les avantages escomptés de notre partenariat avec Airbus et de notre investissement dans SCACS; et la réalisation des avantages attendus de l’acquisition des activités et des actifs du programme de fabrication d’aile d’avion Global 7500 auprès de Triumph. En ce qui concerne les actions stratégiques et la vente proposée du programme d’avions Q Series et des activités de formation des pilotes et des techniciens d’Avions d’affaires (collectivement, les transactions en cours), le présent communiqué de presse comporte également des énoncés prospectifs ayant trait aux conditions et modalités prévues et à l’échéancier de réalisation connexe; au produit devant découler de chacune et à l’utilisation de celui-ci, aux coûts et charges connexes ainsi qu’aux avantages que l’on prévoit en retirer et à leur incidence prévue sur nos prévisions et objectifs; et au fait que la clôture de ces transactions sera conditionnelle à la concrétisation de certains événements, y compris l’obtention des approbations nécessaires des organismes de réglementation.
Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable lorsqu’il est question de Bombardier et de SCACS. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le but d’assister les investisseurs et autres dans la compréhension de certains éléments clés de nos objectifs, priorités stratégiques, attentes et plans actuels, ainsi que pour leur permettre d’avoir une meilleure compréhension de nos activités et de l’environnement dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est prévenu que de telles informations pourraient ne pas convenir à d’autres fins.
De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus décrits dans les énoncés prospectifs. Bien que la direction juge ces hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué de presse en lien avec les transactions en cours dont il est question dans les présentes comportent les hypothèses significatives suivantes : le respect de toutes les conditions de clôture et la réalisation de ces actions stratégiques et transactions selon l’échéancier prévu, y compris l’obtention des approbations des organismes de réglementation. Pour plus de renseignements, y compris à l’égard des autres hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse, voir la rubrique Priorités stratégiques et Prévisions et énoncés prospectifs de chaque secteur isolable du rapport de gestion de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2018.
Certains facteurs pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés au Brexit, à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail; à la politique commerciale, à l’accroissement de la concurrence; à l’instabilité politique et à des cas de force majeure ou aux changements climatiques à l’échelle mondiale), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services; au développement de nouvelles activités et à l’octroi de nouveaux contrats; au ratio de nouvelles commandes sur livraisons ou sur revenus et au carnet de commandes; à la certification et à l’homologation de produits et services; aux engagements à prix et à terme fixes et à la production et à l’exécution de projets, y compris les problèmes liés à certains projets existants de Transport et à la libération de fonds de roulement connexe; aux pressions sur les flux de trésorerie et sur les dépenses en immobilisations exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier; aux risques liés à notre capacité de mettre en œuvre et de réaliser avec succès notre stratégie, notre plan de transformation, nos améliorations visant la productivité, nos gains d’efficacité et nos initiatives de restructuration; aux partenaires commerciaux; aux risques liés à notre partenariat avec Airbus et à notre investissement dans SCACS; aux risques liés à notre capacité de poursuivre la mise en œuvre de notre plan de financement de SCACS et de financer, au besoin, les besoins en trésorerie; aux risques liés à notre capacité d’intégrer avec succès les activités et les actifs du programme de fabrication d’aile d’avion Global 7500 acquis auprès de Triumph; au caractère inapproprié de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement de projet; aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits; aux procédures réglementaires et judiciaires; aux risques liés à l’environnement et à la santé et sécurité; à notre dépendance à l’égard de certains clients, contrats et fournisseurs; à la chaîne d’approvisionnement; aux ressources humaines; à la dépendance à l’égard des systèmes informatiques et à leur protection; à la dépendance à l’égard des droits relatifs à la propriété intellectuelle et à leur protection; aux risques liés à la réputation; aux risques liés à la gestion des risques, aux questions fiscales; et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers; aux régimes d’avantages de retraite; à l’exposition au risque de crédit; aux obligations importantes au titre des paiements de la dette et des intérêts; à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt; et à certains seuils minimums de liquidités; à l’aide au financement en faveur de certains clients; et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt; à la diminution de la valeur résiduelle; à l’augmentation des prix des produits de base; et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2018. En ce qui concerne les transactions en cours dont il est question dans les présentes, certains facteurs pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, y compris, sans s’y limiter, la non-réception des approbations des organismes de réglementation ou le retard dans la réception de celles-ci ou le non-respect des conditions rattachées à la réalisation de pareilles actions stratégiques et transactions ou le retard dans le respect de celles-ci et l’incertitude concernant le temps requis pour mener à bien pareilles actions stratégiques et transactions, et le fait que Bombardier n’ait pas accès aux fonds ou avantages connexes selon l’échéancier prévu ou pas du tout; le fait que d’autres sources de financement qui pourraient remplacer le produit prévu et les économies découlant de pareilles actions stratégiques et transactions, selon le cas, pourraient ne pas être accessibles lorsqu’elles s’avèrent nécessaires ou ne pas l’être selon des modalités avantageuses. Par conséquent, rien ne garantit que les transactions en cours ou les avantages prévus seront réalisés en tout ou en partie. Rien ne garantit également que l’investissement dans BT Holdco sera racheté, sous quelque forme ou à quelque moment que ce soit.
Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. D’autres risques et incertitudes que nous ne connaissons pas ou que nous considérons comme non importants à l’heure actuelle pourraient également faire en sorte que les résultats ou les événements réels diffèrent considérablement de ceux exprimés explicitement ou implicitement dans ces énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de la direction à la date du présent rapport et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.
MISE EN GARDE RELATIVE AUX PROGRAMMES D’AVIONS GLOBAL 5500, GLOBAL 6500, GLOBAL 8000 AND CRJ550
Les avions Global 5500, Global 6500, Global 8000 et CRJ550 sont présentement à la phase de développement et ils sont susceptibles de changements, notamment en ce qui a trait à la stratégie de gamme, à la marque, à la capacité, aux performances, à la conception et aux systèmes de circuits. Toutes les spécifications et les données sont approximatives, peuvent changer sans préavis et sont assujetties à certaines règles d’exploitation, hypothèses et autres conditions. Le présent document ne constitue ni une offre, ni un engagement, ni une déclaration, ni une garantie d’aucune sorte.